Un nouveau site internet pour le GREMMOS !
Le GREMMOS inaugure son nouveau site internet ! Désormais, retrouvez notre actualité et nos productions sur le site gremmos.fr ! L’association va procéder au transfert des données de ce site vers le nouveau tout au long de l’année 2021. Nous attendons vos réactions et suggestions avec plaisir. N’hésitez pas à nous contacter. |
Une émission de Radio Ondaine et Radio Dio autour du réseau TRACES
Émission autour du 20e anniversaire du réseau TRACES Produite par Radio Ondaine et Radio Dio. Réalisée au Pax de Saint-Etienne le jeudi 15 Octobre 2020, Intervenants et lien vers le podcast de l’émission sur le site Aura FM : https://www.aurafm.org/podcasts/social/xxeme-anniversaire-du-reseau-traces-histoire-memoires-actualite-des-migrations |
Les luttes ouvrières de la Libération à la grande grève des mineurs (1945-1948) (15 octobre 2020)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Les luttes ouvrières de la Libération à la grande grève des mineurs (1945-1948) Diffusion de la conférence publique prononcée par Jean-Michel Steiner, le 6 octobre 2020 à La Talaudière. Avec Jean-Michel Steiner. Diffusion le jeudi 16 octobre 2020 à 12 heures, rediffusion le même jour à 19 heures et le lendemain 8 heures. |
Conférence « Les luttes ouvrières de la Libération à la grande grève des mineurs (1945-1948) » à La Talaudière le 6 octobre 2020
Conférence « Les luttes ouvrières de la Libération à la grande grève des mineurs (1945-1948) » Mardi 6 octobre à 19 heures 30 (jusqu’à 21 heures) Maison du Parc Jean-Michel Steiner, agrégé et docteur en histoire présentera lors d’une conférence, les luttes ouvrières qui ont jalonnée la période allant de la Libération à la grande grève des mineurs de 1948. Membre du Groupe de recherche sur les Mémoires du monde ouvrier stéphanois (GREMMOS) et co-auteur de l’ouvrage 1948 : les mineurs stéphanois en grève, il mettra en lumière les conflits sociaux d’après-guerre. Cette conférence publique fera l’objet d’un enregistrement radio par l’équipe stéphanoise de Radiodio. Entrée gratuite sur réservation 04 77 01 06 63 ou maisonpatrimoine-mesure@latalaudiere.fr Cette conférence est proposée dans le cadre de l’exposition « 1948 : Mineurs en grève », basée sur les clichés de Léon Leponce et proposée à la Maison du patrimoine et de la mesure de La Talaudière jusqu’au 18 décembre 2020 (entrée payante pendant les horaires d’ouverture habituels du musée). |
Saint-Roch en chantier ! (17 septembre 2020)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Saint-Roch « En chantier » ! Une émission consacrée à l’exposition organisée par les Archives municipales de Saint-Étienne, visible sur la place Saint-Roch jusqu’au 31 octobre. Avec Cyril Longin et Jean-Michel Steiner. Diffusion le jeudi 17 septembre 2020 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Le retour d’un passé migratoire « refoulé » ? Les mémoires de l’immigration au cœur de nouvelles mobilisations citoyennes (20 février 2020)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Le retour d’un passé migratoire « refoulé » ? Les mémoires de l’immigration au cœur de nouvelles mobilisations citoyennes, une comparaison des villes de Villeurbanne et Saint-Etienne Autour de la thèse de doctorat en science politique de Morane Chavanon, La guerre des mémoires n’aura pas lieu ! Construction d’une demande sociale de mémoire rapportée à l’immigration et nouvelles luttes symboliques : une comparaison Saint-Étienne / Villeurbanne (Université Lyon 2, sous la direction de Nathalie Dompnier, 2019). Avec Morane Chavanon, Catherine Gauthier et Jean-Michel Steiner Diffusion le jeudi 20 février 2020 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Programme modifié des VIes Rencontres d’histoire ouvrière du GREMMOS (23 janvier 2020)
Modification du programme des VIes Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne : Cent ans de communisme en France et dans la Loire : du projet révolutionnaire à l’expérience démocratique
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[MODIFIÉ] Programme des 6es Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne : « Cent ans de communisme en France et dans la Loire »
Sixièmes Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne
Cent ans de communisme en France et dans la Loire. Du projet révolutionnaire à l’expérience démocratique
MODIFICATION : Le vendredi 24 janvier étant annoncé comme journée nationale de mobilisation, le GREMMOS a décidé de modifier l’organisation déjà annoncée des VIes Rencontres d’histoire ouvrière. Seule la journée du jeudi 23 sera maintenue avec un programme légèrement transformé. Nous espérons que chacun comprendra ce choix et nous vous attendons jeudi aux Archives départementales.
Jeudi 23 janvier
Session 1 - Autour du Congrès de Tours
Session 2 - L’implantation ouvrière : de la conquête d’une hégémonie à l’effondrement
Vendredi 24 janvier 2020
Session 3 - Objectifs et réalités de l’action municipale
Session 4 - Intellectuels et acteurs culturels
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Projections « Histoire du PCF » et « La vie est à nous » à la Cinémathèque (mercredi 22 janvier 2020)
En introduction des 6e Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne, le GREMMOS organise avec la Cinémathèque de Saint-Étienne une projection le mercredi 22 janvier 2020 Cinémathèque de Saint-Étienne (20-24 rue Jo Gouttebarge) 14 heures 30 et 19 heures Entrée libre
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Mobilisation ouvrière ou agitation communiste ? La grève générale de la métallurgie stéphanoise en 1924 (16 janvier 2020)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Mobilisation ouvrière ou agitation communiste ? La grève générale de la métallurgie stéphanoise en 1924 Avec Antoine Vernet et Jean-Michel Steiner Diffusion le jeudi 16 janvier 2020 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Projection « En découdre. Paroles ouvrières en Roannais », à Roanne le 6 décembre 2019
En découdre. Paroles ouvrières en roannais
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Autour du Congrès de Tours : Cent ans de communisme en France et dans la Loire (19 décembre 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Autour du Congrès de Tours, les VIe Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne : Cent ans de communisme en France et dans la Loire Avec Jean-Michel Steiner et Antoine Vernet Diffusion le jeudi 19 décembre 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Journée d’études « Casino : fabriquer pour vendre » (10 décembre 2019)
Journée d’étude « Casino : fabriquer pour vendre » Université Jean Monnet, Ville de Saint-Étienne, en partenariat avec le groupe Casino Mardi 10 décembre 2019 - Auditorium, siège de Casino, 1 cours Antoine Guichard, Saint-Étienne Entrée gratuite dans la limite des places disponibles Contact : archives municipales de Saint-Étienne (archives@saint-etienne.fr / 04 77 34 40 41) 10h-12h Introduction Olivier Londeix (docteur en histoire, Université Paris Nanterre) : Du comptoir au libre-service : vendre chez Casino de 1898 à 1960 Philippe Verheyde (maître de conférences en histoire contemporaine, Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis, IDHES) : Quand le commerçant devient producteur : articulation, intégration, réseaux (à travers les exemples de Félix Potin, Galeries Barbès et Lévitan) Aurélie Brayet (docteur en histoire des techniques, chercheur associé RECITS, Université de technologie de Belfort-Montbéliard) : Le chocolat Casino, le goût de la modernité Stéphane Le Bras (maître de conférences en histoire contemporaine, Université Clermont-Auvergne, CHEC) : Les vins de marque Casino. Une histoire de vins populaires (années 1920- années 1970) 14h30-17h Conférence imagée par Hélène Rival (doctorante en esthétique et sciences de l’art, Université Jean Monnet, CIEREC) : Chocolaterie et confiserie : usines, vitrines et tickets-primes Films présentés : • Montrer la production : Photographie et cinéma mettent en scène le savoir-faire et l’organisation parfaite des usines Casino Les Établissements Casino / La France économique, de Max Dianville, 1925 (extraits) • Exposer le produit : Construire un étalage, échafauder une vitrine, mettre en rayon, sont autant de techniques que le gérant se doit d’acquérir. Photographies et films le guident dans son apprentissage. Plaisir de vendre de Roger Gudin, 1950 (extraits) Paridoc vente du Studio ATC, années 50 (extraits) [M.A.S Camion itinérant de vente] Le roi de la tournée, années 50 (extraits) • Fidéliser la clientèle : Tickets-primes, carnet boni, images à collectionner, goûters et dégustations sont autant de techniques de vente que la maison Casino orchestre minutieusement via ses différents canaux de publicité Publicités café et chocolat Casino, années 70, avec Roger Pierre et Jean-Marc Thibault • Fabriquer à l’ère des hypers : Le développement des cafétérias et des « Géants » voit resurgir une communication autour des processus de production mis en œuvre dans les usines « les plus modernes d’Europe » La Chocolaterie du Pont de l’âne du groupe Casino d’Ito Josué, 1984, 29’ https://archives.saint-etienne.fr/article.php?laref=1605&titre=save-the-date-casino-fabriquer-pour-vendre |
Colloque « De la guerre à la paix : la Loire en 1919 » à Montbrison (22 novembre 2019)
Colloque « De la guerre à la paix : le département de la Loire en 1919 » Organisé par La Diana Vendredi 22 novembre 2019 Montbrison, Théâtre des Pénitents (entrée libre) 9h30-9h45 : Ouverture par le président de La Diana et le maire de Montbrison 9h45-10h05 : Introduction générale du colloque, par Antoine Prost (Président de la Mission du Centenaire) 10h15-10h35 : L’état des sources aux archives départementales de la Loire, par Éric Thiou (Directeur adjoint des archives départementales, docteur en histoire) 10h45-11h05 : Rentrer chez soi : le laborieux retour à la vie civile des démobilisés, par Pascal Chambon (professeur, docteur en histoire) 11h30-11h50 : Les hôpitaux militaires dans le département de la Loire à la fin de la guerre (1917-1920), par Claude Latta (ancien professeur, docteur en histoire) 12h00-12h20 : L’industrie textile de la Loire 1919-1921, par Brigitte Carrier-Reynaud (maîtresse de conférences à l’Université de Saint-Étienne) 14h00-14h20 : La métallurgie et la construction mécanique du bassin stéphanois entre guerre et paix, par Jean Lorcin (professeur honoraire à l’Université Lyon 2) 14h30-14h50 : Les stratégies des houillères stéphanoises dans l’après-guerre (1919-1926), par Luc Rojas (docteur en histoire) 15h00-15h20 : La reconversion de la main-d’œuvre ouvrière à l’issue de la Première Guerre mondiale : de la préparation aux pratiques, par Antoine Vernet (docteur en histoire) 15h45-16h05 : Le retour de la vie démocratique en 1919, par Jean-Michel Steiner (ancien professeur, docteur en histoire) 16h15-16h35 : À la croisée des chemins. Le(s) mouvement(s) ouvrier(s) dans le bassin stéphanois (1917-1924), par Alban Graziotin (professeur) 16h45-17h15 : Conclusion du colloque, par Antoine Prost |
Retour sur les catastrophes minières de la Loire (21 novembre 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Retour sur les catastrophes minières de la Loire Avec Jean-Paul Gaschignard et Maurice Bedoin La thématique de l’émission est liée à la prochaine exposition du Musée de la Mine « Kata - Catastrophes minières », qui débute le 26 novembre. Diffusion le jeudi 21 novembre 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Le quartier Saint-Roch : autour de la (prochaine) exposition aux archives municipales (17 octobre 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Le quartier Saint-Roch : autour de la (prochaine) exposition aux archives municipales Avec Catherine Gauthier et Cyril Longin Diffusion le jeudi 17 octobre 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Les caisses de secours minier (19 septembre 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Les caisses de secours minier Avec Jean-Paul Gaschignard Diffusion le jeudi 19 septembre 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Le CRÉSAL, une sociologie des mondes ouvriers ? (20 juin 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Le CRÉSAL, une sociologie des mondes ouvriers ? Avec Michel Rautenberg et Antoine Vernet Diffusion le jeudi 20 juin 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Les catastrophes minières dans le bassin de la Loire (16 mai 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Les catastrophes minières dans le bassin de la Loire : histoire, questions techniques, retombées sociales et politiques Avec Jean-Paul Gaschignard Diffusion le jeudi 16 mai 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
6es Rencontres d’histoire ouvrière : « Cent ans de communisme en France et dans la Loire. Du projet révolutionnaire à l’expérience démocratique » - Appel à communications
Dans le cadre du centenaire du Congrès de Tours, le GREMMOS organise les |
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6es Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne
Jeudi 23 et vendredi 24 Janvier 2020
Cent ans de communisme en France et dans la Loire. Du projet révolutionnaire à l’expérience démocratique
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Les propositions de communications (titre, résumé de 2000 signes) doivent être envoyées, avec un court CV, avant le 30 avril 2019 à l’adresse suivante : gremmos-2007@orange.fr Comité scientifique : Michelle Zancarini-Fournel, Samir Hadj Belgacem, Xavier Vigna, Sophie Béroud, Gilles Richard, Jean Lorcin, Jean-Michel Steiner, Georges Gay, Michel Rautenberg, Antoine Vernet, Serge Proust, Alban Graziotin, Cyril Longin. Calendrier prévisionnel : Date limite d’envoi des propositions : Réponse du comité d’organisation : 1er juin 2019 Date limite d’envoi des communications : 15 décembre 2019 VI° Rencontres d’Histoire ouvrière de Saint-Étienne : 23 & 24 janvier 2020 Les frais de déplacement et d’hébergement seront pris en charge par les organisateurs. Contributions et débats feront l’objet d’une mise en ligne sur notre site et éventuellement d’une publication. L’appel peut être téléchargé en cliquant sur le lien suivant : appel à communications |
Au programme de la librairie Lune et l’autre en mai 2019
Événements organisés par la librairie Lune & l’autre (Saint-Étienne) Jeudi 2 mai Librairie (19, rue Pierre Bérard) 19 heures Entrée libre « Que sont nos quartiers devenus ? » Rencontre avec Rachid Kaddour, auteur du livre Les grands ensembles, patrimoines en devenir : chroniques de la valorisation, dévalorisation et revalorisation d’opérations exemplaires à Saint-Etienne (Publications de l’université de Saint-Étienne, 2019). Issu d’une thèse en géographie urbaine, cet ouvrage retrace en mots et en images l’histoire des grands ensembles d’habitation des quartiers sud-est de Saint-Etienne (Beaulieu / Montchovet / La Métare) dont un des grands symboles fut « la Muraille de Chine ». Rachid Kaddour donne la parole aux acteurs de leur conception et explique la manière dont certains de ces grands ensembles furent progressivement dévalorisés puis l’objet de programmes de rénovation mettant l’accent sur la mixité sociale et le patrimoine urbain. Un pan de l’histoire récente de notre ville qui sera abordée à travers l’histoire de ces quartiers populaires. Vendredi 17 mai 19 heures Amicale laïque du Crêt de Roch (16, rue Royet) Entrée libre Rencontre avec Victor Collet, auteur du livre Nanterre, du bidonville à la cité (éditions Agone) Dans ce livre, Victor Collet retrace l’histoire politique de Nanterre depuis le début des années 1950, lorsque les immenses friches de l’endroit virent naître des bidonvilles où s’installèrent des immigrés venus d’Algérie, du Maroc et du Portugal. Peuplée d’ouvriers très politisés et accueillant l’université d’où part la révolte de mai 1968, la ville est le lieu de nombreux débats politiques et intellectuels. De l’entrée des premiers militants chrétiens dans les bidonvilles jusqu’à la naissance des mouvements menés par les immigrés eux-mêmes, en passant par l’engagement des gauchistes de la faculté toute proche, ce livre est une histoire de rencontres et de luttes. |
Des corps en enfer. Une histoire des corps en région stéphanoise (25 avril 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Des corps en enfer. Une histoire des corps en région stéphanoise Avec Mikaël Duarte et Jean-Michel Steiner Présentation du travail de thèse de doctorat de Mikaël Duarte, soutenue en 2017 à l’Université de Saint-Étienne (visible en ligne). Diffusion le jeudi 25 avril 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Rencontre avec Ludivine Bantigny (« 1968, de grands soirs en petits matins ») à la Médiathèque Tarentaize (23 mai 2019)
Rencontre avec Ludivine Bantigny Autrice de 1968, de grands soirs en petits matins (Paris, Le Seuil, 2018) Jeudi 23 mai 2019 Médiathèque municipale de Saint-Étienne (Tarentaize) 18 heures 30 Entrée libre Présentation de l’éditeur : http://www.seuil.com/ouvrage/1968-de-grands-soirs-en-petits-matins-ludivine-bantigny/9782021301571 |
Nouvelle présentation de l’ouvrage « Le monde ouvrier face à la Grande Guerre » à la librairie L’Hirondaine le 25 avril
Présentation et discussion sur le livre du GREMMOS Le monde ouvrier face à la Grande Guerre. Le bassin de Saint-Étienne de 1910 à 1925. Le jeudi 25 avril, de 18 heures à 20 heures, à la librairie coopérative L’Hirondaine, 10 rue Benoît Frachon à Firminy Entrée libre. |
Projection « Mémoires de mines » à la Cinémathèque le 4 avril 2019
Projections "Mémoires de mines" Cinémathèque de Saint-Étienne 4 avril 2019 14 heures 30 "Saint-Étienne-Timezrit, allers et retours" Documentaire réalisé par Ciné + et Le France (France, Algérie, 2006, 32’). L’association algérienne d’éducation à l’image, Ciné+ (à Timezrit) et le Cinéma Le France (à Saint-Étienne) se sont associés pour développer un projet cinématographique sur le patrimoine minier. Des adolescents algériens et stéphanois se font passeurs de mémoires pour comprendre les histoires industrielles, coloniales et aussi humaines communes à ces deux villes. "Leurs regrets sont nos espoirs" Un clip vidéo et un documentaire réalisés par les adolescents du DEAT (2017, 18’). Des adolescents du DEAT ont rencontré des retraités de l’EPHAD Balay. Au fil des rencontres et des discussions sur « Saint-Étienne avant », ces jeunes ont voulu s’intéresser de plus près au passé minier de la ville, pour aller encore plus en profondeur dans leurs discussions avec les résidents. Séance organisée avec le DEAT (Dispositif Expérimental d’Accompagnement Transitoire) |
Conférence « Résistantes et résistants de la vallée du Gier » le 27 avril 2019 à Rive-de-Gier
Conférence « Résistantes et résistants de la vallée du Gier » Samedi 27 avril 2019 À partir de 14h30 Ruche des Citoyens à Rive-de-Gier Entrée gratuite Organisée par l’Amicale des anciens de la Résistance et amis secteur Gier Conférence animée par Michelle Destour Avec une présentation du Dictionnaire biographique (Maitron) des fusillés, guillotinés, exécutés et massacrés 1940-1944 |
La grève du 30 novembre 1938 et la fin du Front Populaire (21 mars 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne La grève du 30 novembre 1938 et la fin du Front Populaire Avec Jean-Michel Steiner Diffusion le jeudi 21 mars 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Sous l’œil des Houillères (21 février 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Sous l’œil des Houillères Entretien avec Marion Fontaine (maîtresse de conférences en histoire à l’Université d’Avignon) Enregistrement réalisé à l’occasion de la projection du film « Sous l’œil des houillères », de Richard Berthollet (France, 2017, 52"), co-écrit avec Marion Fontaine Diffusion le jeudi 21 février 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Projection-débat « Sous l’œil des houillères » le 1er février 2019
Cinémathèque de Saint-Étienne Le vendredi 1er février 2019 Séances à 14h30 et 20h Entrée libre Projection du film "Sous l’œil des houillères" Film de Richard Berthollet (France, 2017, 52’) Co-écrit avec Marion Fontaine, maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l’Université d’Avignon Présentation et discussion en présence de Richard Berthollet et du producteur Christian Dias (pour les deux séances) et de Marion Fontaine (pour la séance du soir) Organisée par le GREMMOS et la Cinémathèque de Saint-Étienne Présentation du film : "De 1949 à 1992, un système policier privé a régné au cœur des Houillères du Bassin du Nord-Pas-de-Calais (HBNPC). Son nom de code : le SSB, acronyme de Service de Surveillance du Bassin. L’œil - et les oreilles - des Houillères, c’était lui et ses trois cents hommes qui savaient tout, sur tout le monde et en toutes circonstances. Comment une entreprise d’État a-t-elle pu développer un tel système, en plein cœur des trente glorieuses et jusqu’à une période très récente, sans que cela suscite ni protestation ni révolte chez les mineurs ? Pour remonter le fil de cet étrange système jamais documenté jusqu’alors, Marion Fontaine (historienne spécialiste des mondes ouvriers et miniers) et Richard Berthollet (réalisateur) ont plongé dans les archives du Centre Historique Minier de Lewarde (dans le Nord) : livres d’effectifs des gardes, « memento » détaillant les missions et le mode de fonctionnement du service, procès-verbaux de surveillances syndicales et politiques, synthèses de renseignements transmis à la direction... Ces documents inédits permettent aux deux auteurs d’esquisser, loin de l’image d’Épinal des gueules noires, une contre-histoire du monde minier, plus ambiguë, moins idéalisée. Ce regard neuf sur un vieux mythe pose des questions très contemporaines en terme de gestion des mouvements sociaux, de terrorisme, de base de données et de surveillance des populations. Bienvenue dans la mémoire secrète des Houillères nationalisées." |
Les grands ensembles, patrimoine en devenir (17 janvier 2019)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Les grands ensembles, patrimoine en devenir Avec Rachid Kaddour et Georges Gay Parution de l’ouvrage de Rachid Kaddour aux Publications de l’université de Saint-Étienne courant février 2019 Diffusion le jeudi 17 janvier 2019 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Rencontres « L’innovation managériale » et « Casino notre patrimoine »
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Présentations de l’ouvrage « Le monde ouvrier face à la Grande Guerre »
Présentations de l’ouvrage Le monde ouvrier face à la Grande Guerre Le jeudi 27 septembre 2018 à la Maison Rouge (au Crêt de Roc) à Saint-Étienne, en début de soirée. Le mardi 20 novembre 2018, à la Cinémathèque de Saint-Étienne Présentation de l’ouvrage à 19 heures Projection du film « Les croix de bois », de Raymond Bernard (France, 1931, 1h50) à 20 heures 30 Entrée libre |
Les immigrés dans les luttes ouvrières, le tournant 68 (15 novembre 2018)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne La Biennale TRACES 2018 - Diffusion de captations réalisées lors de la journée du mercredi 14 novembre Pour plus de renseignements : http://traces-migrations.org/ |
Journée TRACES à la Cinémathèque « Les immigrés dans les luttes ouvrières, le tournant 68 »
Mercredi 14 novembre, JOURNÉE TRACES : « les immigrés dans les luttes ouvrières, le tournant 68 », à la Cinémathèque de SAINT-ETIENNE LES IMMIGRÉS DANS LES LUTTES OUVRIÈRES, LE TOURNANT 68 Mercredi 14 novembre, de 17h30 à 22h30 À la Cinémathèque de SAINT-ETIENNE Entrée libre Programme : 17h30 : Accueil et PROJECTION D’EXTRAITS DE DOCUMENTAIRES : Saint-Étienne en comparaison des luttes nationales. Pennaroya à Lyon, la banlieue parisienne : lutte des OS à Billancourt, à Talbot Poissy, à Citroën Aulnay, foyers Sonacotra contre la circulaire Marcellin-Fontanet… Projection d’extraits des films d’archives de la Cinémathèque de Saint-Étienne : Grèves des mineurs et métallurgistes (1947/1948), Immigrés à Saint-Étienne (grève des travailleurs tunisiens, 1973), Sefamec (1979), Il était une fois en France : Marche pour l’égalité et contre le racisme (1983). 18h30 : TABLE RONDE avec Michelle Zancarini-Fournel, Professeure émérite d’histoire contemporaine ; auteure entre autres de : Le moment 68, une histoire contestée, (2008) / 68, une histoire collective co-dir. avec Philippe Artières. (2008)/ La France du temps présent 1945-2005 (2010)/ Histoire des femmes en France, XIXe-XXe siècle (2005) Mohammed Ouaddane, Délégué général du Réseau Mémoires Histoires en Île-de-France Des chercheurs du Gremmos (Groupe de recherches et d’études sur les mémoires du monde ouvrier stéphanois de l’Université Jean Monnet de Saint-Étienne) (Captation Radio DIO pour l’émission spéciale Gremmos/DIO proposée le lendemain jeudi 15 novembre / 89.5 Fm – Ecoute en ligne www.radiodio.org) (Détails) 20h30 : CONVERSATION, café, bar 21h : PROJECTION Le Mouvement des Travailleurs Arabes ou mémoires de luttes immigrées de Dahmane Bouaziz (France, 2016) Ce film nous conte l’histoire oubliée, tronquée, restée dans l’ombre d’une décennie de luttes sociales des immigrés dans les années 70. Organisés en Mouvement des Travailleurs Arabes, ils seront présents sur différents terrains politiques et sociaux, ce qui leur vaudra des inimitiés avec les syndicats et la Gauche traditionnelle, accusés de diviser la classe ouvrière. Séance en présence du réalisateur. *** À la Cinémathèque, 20-24 rue Jo Gouttebarge, SAINT-ETIENNE Contact : Antoine Ravat :04 77 43 09 86 – antoine.ravat@saint-etienne.fr reseau.traces@gmail.com Organisée par la Cinémathèque de Saint-Etienne, Traces et l’Association nationale Inter-réseaux Mémoires Histoire (AIMH) http://traces-migrations.org/2018/09/27/cinematheque1411/ |
Exposition De la Stéphanoise à la Comédie (22-24 novembre 2018)
Exposition 1912 à 2017 : De la Stéphanoise à la Comédie Maison de quartier du Soleil, à Saint-Etienne Du jeudi 22 au samedi 24 novembre 2018 Entrée libre Exposition sur la Société stéphanoise de constructions mécaniques (SSCM), 1912-2005. |
La biennale Traces 2018 (18 octobre 2018)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne La Biennale TRACES 2018 Avec Catherine Gauthier Diffusion le jeudi 18 octobre 2018 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. Pour plus de renseignements : http://traces-migrations.org/ |
Les chansons écrites sur les mineurs (jeudi 21 juin 2018)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Les chansons écrites sur les mineurs Avec Jean-Paul Gaschignard et Jean-Michel Steiner Diffusion le jeudi 21 mai 2018 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Appel à souscription « Le monde ouvrier face à la Grande Guerre. Le bassin de Saint-Étienne de 1910 à 1925 »
Appel à souscription pour l’ouvrage du GREMMOS :Le monde ouvrier face à la Grande Guerre. Le bassin de Saint-Étienne de 1910 à 1925.
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Programmation spéciale « Mai 68 » à la médiathèque de Saint-Étienne
Programmation spéciale « Mai 68 » à la Médiathèque municipale et à la Cinémathèque de Saint-Étienne Le mardi 29 mai « Femmes en lutte dans les films du groupe Medvedkine » Projections de différents films : À bientôt, j’espère, de Chris Marker et Mario Marret (1967, 44’) La charnière, d’Antoine Bonfanti (1968, 13’) Classe de lutte du groupe Medvedkine de Besançon (1969, 40’) La reprise du travail aux usines Wonder, de Jacques Willemont (1968, 9’) Cinémathèque de Saint-Étienne 14 heures 30 Entrée libre Le mardi 29 mai Conférence « Comprendre mai 68 » Par Jean-Michel Steiner, historien Médiathèque de Tarentaize, salle Mazoyer 19 heures Entrée libre Le jeudi 31 mai Colloque et projections « Mai 68, la Loire dans le conflit » Dont à 18 heures : CGT, Mai 68, documentaire de René Vautier (1968, 55’) Entrée libre Lien vers l’article dédié Le vendredi 1er juin « Le cinéma de mai 68 » Projection de Le joli mois de mai (1968, 33’), Citroën Nanterre (1968, 68’), Le droit à la parole de l’ARC (1968, 52’) Cinémathèque de Saint-Étienne 14 heures 30 Entrée libre Le vendredi 1er juin Projection « Grands soirs et petits matins : Mai 68 au quartier latin » Film de William Klein (1978, 97’) Cinémathèque de Saint-Étienne 18 heures 30 Entrée libre |
Que reste-t-il de mai 68 ?
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Que reste-t-il de mai 68 ? Avec Michelle Destour et Maurice Bedoin Diffusion le jeudi 17 mai 2018 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Rencontre à la Maison du patrimoine et de la mesure (La Talaudière)
Dimanche 6 mai 2018 À la Maison du patrimoine et de la mesure à La Talaudière 15 heures Entrée libre Rencontre avec un ancien mineur et présentation d’un document rare : « un livre réalisé par les enfants de mineurs de La Talaudière en 1954 ». Document écrit à la plume et illustré à l’aquarelle, témoignage unique du monde minier à travers le regards d’enfants. |
Rencontre nationale de l’ACO à Saint-Étienne (18 au 21 mai 2018)
Nous signalons, quelques mois après les 5es Rencontres d’histoire ouvrière consacrées aux relations entre « Monde ouvrier et religions », la tenue au Centre des Congrès de Saint-Étienne de la Rencontre nationale de l’Action catholique ouvrière, du samedi 19 au lundi 21 mai 2018. Plus de renseignements sur le site de l’ACO : http://acofrance.fr/ |
« Mai 68 a cinquante ans » pendant tout le mois de mai au Remue-méninges
Mai 1968 a cinquante ans Notamment au programme, deux conférences / échanges au Remue-Méninges (programme complet du mois de mai en lien) Mercredi 9 mai, Michelle Zancarini-Fournel, professeure émérite en histoire contemporaine à l’université Claude Bernard - Lyon-1 Co-directrice de 68, une histoire collective (1962-1981) (paru chez La Découverte, mars 2015) Jeudi 24 mai, Pierre Héritier, Syndicaliste, Ancien secrétaire national de la CFDT, fondateur de l’association LASAIRE. Pierre Héritier a été un acteur de 1968 à Saint Etienne. Et suivez le projet sur le site : https://50ans68.wordpress.com/ |
1968 - 2018 : Le 50e anniversaire de mai-juin 1968. La Loire dans le conflit (colloque IHS-CGT 42)
1968 - 2018 : Le 50e anniversaire de mai-juin 1968. La Loire dans le conflit Conférences et projections Colloque organisé par l’IHS 42 Benoît Frachon En partenariat avec le CEDMO42 et la LSR CGT Loire Cinémathèque de Saint-Étienne Jeudi 31 mai 2018 À partir de 14 h 30 Entrée libre dans la limite des places disponibles Intervention de Jacky Henry (historien, membre de la direction de l’UD-CGT de la Loire, collaborateur de l’IHS CGT 42), sur « L’avant-68 : l’envers des Trente glorieuses et le réveil ouvrier (1963-1967) » Projection de films d’archives sur la Grande grève des mineurs de 1963 dans le bassin de la Loire, sur les Manifestations des métallurgistes à Saint-Étienne en 1965, sur le 13 mai 1968 à Saint-Étienne Intervention d’Alban Graziotin (historien, professeur dans l’enseignement secondaire, GREMMOS et collaborateur de l’IHS CGT 42) sur les luttes sociales des années 68 (1968-1976) Projection du film « Il se passe toujours quelque chose aux Nouvelles Galeries de Saint-Étienne », 1970 Intervention de Lucas Winiarski (doctorant en science politique, laboratoire Triangle), sur « Les lendemains de mai 1968 - La fin des Trente glorieuses et la crise capitaliste : désindustrialisation et résistances ouvrières » Projection des films sur le Rallye des bradés à Saint-Étienne en 1976, et sur la SEFAMEC à Saint-Jean-Bonnefonds en 1979 18 heures : Projection du film « CGT, mai 68 » (56’) de René Vautier, réalisé sur commande de l’IHS CGT national. Programme détaillé (en lien). |
Nouvelle représentation « Métallos et dégraisseurs » (21 avril 2018)
Samedi 21 avril, 19 heures Amicale laïque de Tardy (Saint-Étienne) Organisé par l’Union locale CGT de Saint-Étienne Entrée 8 euros (5 euros tarif réduit : voir affiche en lien) Lien vers l’affiche pour plus de renseignements. |
Un retour sur les 5° Rencontres d’histoire ouvrière (19 avril 2018)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Un retour sur les 5°Rencontres d’Histoire Ouvrière de Saint-Étienne du 19 janvier 2018 : Monde ouvrier et religions Avec Jean-Paul Bénetière Diffusion le jeudi 19 avril 2018 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Représentation « Métallos et dégraisseurs » le vendredi 23 mars au Lycée Mimard
Au profit de l’Association AISPAS (Association interprofessionnelle de soin et de prévention des abus sexuels) Le vendredi 23 mars 2018 20 heures Salle de spectacles du Lycée Étienne Mimard (Saint-Étienne) |
La Bourse du Travail de Saint-Etienne : histoire et avenir (15 mars 2018)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne La Bourse du Travail de Saint-Étienne : histoire et avenir Avec Maurice Bedoin et Jean-Michel Steiner Diffusion le jeudi 15 mars 2018 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
« Mémoires ouvrières, mémoires stéphanoises » : manifestation à la Bourse du Travail (13 mars 2018)
Premières Rencontres « Mémoires sociales et citoyennes » Manifestation organisée par le Syndicat CGT des retraités des organismes sociaux de la Loire 1938 - 1968 Mémoires ouvrières, mémoires stéphanoises Mardi 13 mars 2018 À partir de 14h30 Bourse du Travail de Saint-Étienne Salle Sacco & Vanzetti Présentation de l’événement :
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Colloque CEDMO42 « Le mouvement de la paix dans la Loire, 1948-1998 » (23 mars 2018)
Le vendredi 23 mars 2018 Bourse du Travail de Saint-Étienne 9 h – 17 h 30 Colloque du CEDMO42 : "1948 – 1998 : Le Mouvement de la paix dans la Loire, de l’interdiction de la bombe atomique à la paix en Algérie et au Vietnam" Programme 9 heures : accueil 9 h 30 : Mot de bienvenue : CEDMO42 Première session Présidence : Maurice Bedoin, GREMMOS 9 h 45 : « Yves Farge : de la Résistance au pacifisme », Raphaël Spina, historien 10 h 20 : « De la guerre passée à la guerre annoncée – Les combattants de la paix du département de la Loire de 1949 à 1954 », Jean-Michel Steiner, historien 11 h 10 : « Le quartier du Soleil, un quartier pour la paix, 1948 - 1956 », Marinette Tynaire, témoignage 11 h 30 : Vernissage de l’exposition, apéritif d’honneur 14 heures : accueil Deuxième séance Présidence : Daniel Jaboulay, président de l’IHS-42 Benoît Frachon 14 h 20 : « Chrétiens et communistes dans la lutte pour la paix dans la Loire », Daniel Durand, président du CEDMO42, 14 h 55 : « La lutte pour la paix au Vietnam à Saint-Étienne », échanges et souvenirs de témoins 15 h 55 : « Naissance d’un comité de paix à Rive-de-Gier, 1987 –1998 », Rolland Fournel, témoignage 16 h 15 : « Contre les essais nucléaires français, une action originale à Saint-Étienne, 1987 – 1992 », Anne-Marie Durand, professeure d’histoire 16 h 35 : Questions et échanges sur les deux parties 17 h : Conclusion, Daniel Durand, président du CEDMO42 17 h 15 – 18 h : visite de l’exposition, librairie |
Conférences de l’Institut du Travail
Conférences de l’Institut du Travail Université Jean Monnet, Saint-Étienne Site Tréfilerie, amphithéâtre E01 18h - 20h Entrée libre Le 28 mars 2018 (report de la séance du 8 février 2018) Jean-Paul Benetière. Conférence "Edmond Maire, le « recentrage » de la CFDT, et l’UD CFDT de la Loire". Le 7 mars 2018. Eric Marlière. Conférence "Des « métallos » aux « jeunes des cités »". Éric Marlière est sociologue à l’IUT "B" de l’Université de Lille, membre du laboratoire CeRIES. Auteur de l’ouvrage Des « métallos » aux « jeunes des cités ». Sociohistoire d’une banlieue ouvrière en mutation, il interviendra sur les transformations des milieux populaires et les recompositions des jeunes des quartiers populaires. |
Les mines de la vallée du Gier (15 février 2018)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Les mines de la vallée du Gier Avec Rolland Fournel et Maurice Bedoin Diffusion le jeudi 15 février 2018 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
« Le travail des femmes dans la rubanerie » au Musée d’art et d’industrie
Événements au Musée d’art et d’industrie de Saint-Étienne
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Nouvelles présentations de l’ouvrage « L’union départementale de la CFTC-CFDT de la Loire », janvier-février 2018
Jean-Paul Bénetière présente son livre L’Union départementale de la CFTC-CFDT de la Loire, Déconfessionnalisation, autogestion, crise et résistance au « recentrage » (1944-1988) (Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2017) :
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Projection « Mélancolie ouvrière » le dimanche 4 février 2018 au MAI
Le dimanche 4 février 14 heures 30 Au Musée d’art et d’industrie de Saint-Étienne Gratuit, réservation conseillée Projection du film « Mélancolie ouvrière » (2017, 1h30) Adaptation de l’ouvrage de Michelle Perrot En présence du réalisateur Gérard Mordillat Plus d’informations : http://www.mai.saint-etienne.fr/content/projection-du-film-melancolie-ouvriere-0 |
Conférence « La guerre des cathédrales, création d’un diocèse indépendant »
Conférence de l’association Histoire et patrimoine de Saint-Étienne « La guerre des cathédrales, création d’un diocèse indépendant » Par l’abbé Bruno Martin Conférence sur la guerre des cathédrales, entre la Grand’Église et l’église Saint-Charles, et la création d’un diocèse indépendant à Saint-Étienne. Hôtel de Villeneuve - Musée du vieux Saint-Etienne Samedi 20 janvier 2018, 14h30 Entrée libre (dans la limite des places disponibles, arrivez bien en avance pour être certains d’assister à la conférence). (Nous signalons exceptionnellement cette conférence qui ne porte pas sur les thématiques ouvrières afin d’inviter les personnes intéressées par l’histoire religieuse stéphanoise, dont il sera question le vendredi 19 janvier lors des 5° Rencontres d’histoire ouvrière, d’approfondir leurs connaissances sur le sujet). |
Programme des 5e Rencontres d’histoire ouvrière de St-Étienne : « Monde ouvrier et religions au XXe siècle » (vendredi 19 janvier 2018)
Monde ouvrier et religions au XXe siècle 5e Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne Organisées par le GREMMOS (Groupe de recherches et d’études sur les mémoires du monde ouvrier stéphanois) Vendredi 19 janvier 2017, 8h30 - 17h30 Université Jean Monnet (site Tréfilerie, amphithéâtre E01) Entrée libre |
S’intéresser aux influences réciproques entre religions, Églises et monde ouvrier au XXe siècle, c’est étudier comment certains catholiques et protestants ont tenté de reconquérir un monde ouvrier en partie déchristianisé. Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, des organisations chrétiennes, surtout catholiques - la Confédération Française des Travailleurs Chrétiens, la Jeunesse Ouvrière Chrétienne, l’Action Catholique Ouvrière, les prêtres ouvriers - se sont donné cette mission, tout en étant souvent étroitement surveillés par l’Église et, pour certains d’entre eux, arrêtés dans le travail entrepris. En même temps, des institutions d’encadrement, pour l’essentiel mises en place au XIXe et au début du XXe siècle, accueillaient les milieux ouvriers : écoles, jardins ouvriers, patronages, colonies de vacances, ouvroirs pour les filles. Leur engagement dans le monde ouvrier a parfois transformé les militants chrétiens en militants syndicaux et politiques les amenant à prendre des positions opposées à celles de l’Église. En tout état de cause, à la fin du XXe siècle le monde ouvrier restait un monde déchristianisé et certains auteurs se demandaient « où étaient passés les catholiques ». En ce qui concerne l’Islam, les sources et les études sont moins importantes, mais la question demeure : quelle a été l’influence de cette religion sur un monde ouvrier où la part des travailleurs musulmans a fortement augmenté depuis la Seconde Guerre mondiale ? Dans ces 5es Rencontres, le GREMMOS propose de parcourir l’histoire des influences réciproques entre monde ouvrier, mouvement ouvrier et religions en s’appuyant sur des travaux de recherche locaux ou nationaux et sur des témoignages. |
8h30 | Accueil des intervenants et des participants | |
Propos liminaires du président du GREMMOS | ||
9h00 | Michelle Zancarini-Fournel : | Ouverture : État des lieux et questionnements |
Présidence de la matinée : Michel Rautenberg |
9h30 | Michèle Rault : | Femmes chrétiennes engagées dans le monde ouvrier : l’exemple de la Fraternité dominicaine ouvrière (1948-1954) | |
10h00 | Maurice Bedoin : | La Mission ouvrière, l’articulation du religieux et du politique durant l’année 1963 | |
10h25 | Pause | ||
10h40 | Alban Graziotin : | Des ouvriers chrétiens en action dans les conflits du travail et la crise du bassin stéphanois (années 1970-1980) | |
11h05 | Jean-Paul Bénetière : | La transformation des militants “chrétiens” en militants syndicaux et politiques | |
11h20 | Table ronde : | avec André Momein, Michel Bouteille et Roger Millet ; animation : Jean-Paul Bénetière | |
11h50 | Débat : | Discussion sur la table ronde et les interventions de la matinée | |
12h30 | Repas |
Présidence de l’après-midi : Serge Proust |
14h00 | François Maguin : | Enjeux de territoire et transformation du militantisme catholique : le quartier de Solaure |
14h30 | Julian Mischi : | Les transformations contemporaines de l’engagement ouvrier : le rôle des valeurs religieuses |
15h00 | Pause | |
15h15 | Allaoua Bakha | Témoignage : Le poids du religieux dans la culture des ouvriers kabyles |
15h35 | Vincent Gay : | Les enjeux sociaux et politiques liés à la question de l’Islam ouvrier et les évolutions des lectures du monde social et de la classe ouvrière dans l’industrie automobile |
16h05 | Abdelkader Belbahri : | Témoignage : Les grèves de l’automobile comme premier signe du développement de l’Islam politique en France |
16h25 | Débat : | Discussion sur les interventions de l’après-midi |
17h00 | Michelle Zancarini-Fournel : | Conclusions de la journée |
Intervenants de la journée : Allaoua Bakha : ancien directeur de centre social, militant associatif Maurice Bedoin, historien et géographe, spécialiste de l’histoire de la mine, membre du GREMMOS Abdelkader Belbahri, sociologue, ancien maître de conférences en sociologie à l’Université Jean Monnet, Saint-Étienne Jean-Paul Bénetière, historien, spécialiste de l’histoire de la CFDT, membre du GREMMOS Michel Bouteille, ancien jociste, ancien syndicaliste de la CFDT puis de la CGT Vincent Gay, maître de conférences à l’Université Paris 7 Denis Diderot, membre de l’IDHE.S (université Évry Val d’Essonne), spécialiste de l’histoire de l’immigration Alban Graziotin, historien, spécialiste d’histoire sociale, membre du GREMMOS Roger Millet, ancien militant de la CFDT, adhérent du syndicat des transports CFDT (retraités) François Maguin, historien, membre de l’Université de la vie associative (Université Jean Monnet, Saint-Étienne), membre du GREMMOS André Momein, ancien jociste, ancien syndicaliste CFDT, syndicaliste FSU Julian Mischi, sociologue et historien, directeur de recherches à l’INRA de Dijon, spécialiste de l’histoire du PCF Serge Proust, sociologue, Université de Saint-Étienne Michèle Rault, conservatrice en chef du patrimoine aux Archives municipales d’Ivry-sur-Seine, Michel Rautenberg, sociologue, Université de Saint-Étienne Michelle Zancarini-Fournel, professeure émérite d’histoire contemporaine, Université Lyon 1, LARHRA, spécialiste d’histoire sociale et de l’histoire des femmes Téléchargez le flyer en cliquant sur ce lien. |
Le théâtre de marionnettes Pitou à Saint-Étienne (18 janvier 2018)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Le théâtre de marionnettes Pitou en région stéphanoise au tournant des XIXe et XXe siècles. Avec Henry Destour et Jean-Michel Steiner. Diffusion le jeudi 18 janvier 2018 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. |
Conférence de Julian Mischi à l’Institut du Travail (jeudi 18 janvier 2018)
Jeudi 18 janvier 2018 Université Jean Monnet, Saint-Étienne Site Tréfilerie, amphithéâtre E01 18h - 20h Entrée libre Conférence de Julian Mischi, directeur de recherches à l’INRA de Dijon (CESAER) Transformations du travail et modifications de l’action syndicale. Présentation de l’Institut du Travail : Julien Mischi mène différentes recherches sur les transformations du travail et de l’action syndicale. Il a publié récemment un ouvrage consacré au travail et à l’action syndicale dans un atelier industriel de la SNCF installé dans un bourg industriel de 3000 habitants et non dans une grande ville industrielle. "Ce livre s’appuie sur une enquête menée pendant cinq ans sur le quotidien de syndicalistes ouvriers dans un atelier SNCF, au sein d’un bourg industriel de 3 000 habitants. Donnant la parole à des populations souvent associées à tort au seul monde agricole et essentiellement dépeintes par les médias nationaux comme des électeurs du FN, il montre que les ouvriers constituent le premier groupe social des campagnes françaises et tente de répondre à la question : comment s’engager quand tout pousse à la désyndicalisation ? La restitution d’entretiens et de discussions dans le syndicat, tout comme l’observation des mobilisations, font entrer le lecteur dans l’ordinaire de la vie d’ouvriers syndiqués et montrent des tentatives d’organisation collective concrètes face aux réorganisations managériales. Explorant les réalités du militantisme en entreprise, l’ouvrage souligne que les clivages de classes, loin d’avoir disparu, se sont reconfigurés dans un nouveau contexte politique et économique – contexte où l’engagement à gauche peut aussi se perpétuer dans des conditions renouvelées, voire se développer" Julien Mischi, Le bourg et l’atelier. Sociologie du combat syndical, Paris, Agone, 2016. À partir de ses différentes recherches, il interviendra sur les transformations du travail et ses effets sur l’action syndicale. |
« Il y a 100 ans la Révolution russe », événement à Montbrison (14 et 16 décembre 2017)
Il y a 100 ans la Révolution russe Événement organisé par ATTAC Forez Jeudi 14 décembre 2017 Cinéma Rex Montbrison 20 heures Entrée 5 euros Projection du film de Serguei M. Eisenstein, « Le cuirassé Potemkine » Présentation par Michel Balmont, professeur d’audiovisuel Et Samedi 16 décembre 2017 Centre social de Montbrison Entrée libre, PAF souhaitée 1917, l’année qui a changé l’histoire 14 h 30 : Ouverture Exposition « Images de 1917 » Présentations et échanges : 15 h : « 1917 en Russie : une révolution ou des révolutions ? », avec Jean-Michel Steiner, historien 17 h : « 1917, l’année qui a changé l’histoire du monde », avec Bertrand Lordon, économiste 18 h 30 : Chants de luttes avec la chorale La Ravachole 19 h 15 environ : Échanges autour d’un apéritif offert par l’organisateur 20 h environ : Repas tiré du sac et partagé entre tous les participants |
Monde ouvrier et religions... présentation des 5e RHO (22 décembre 2017)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Présentation des 5e Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne : « Monde ouvrier et religions » Avec Jean-Paul Bénetière et Jean-Michel Steiner. Diffusion le jeudi 22 décembre 2017 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. Retrouvez les informations sur les futures rencontres du vendredi 19 janvier 2018 en cliquant sur le lien. |
Présentation de l’ouvrage « L’Union départementale de la CFTC-CFDT de la Loire » de Jean-Paul Bénetière (12 décembre 2017)
Jean-Paul Bénetière présente son livre L’Union départementale de la CFTC-CFDT de la Loire, Déconfessionnalisation, autogestion, crise et résistance au « recentrage » (1944-1988) (Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2017) le mardi 12 décembre 2017 dans le local de l’Union Locale CFDT de Saint-Chamond, Hôtel-Dieu, rue de la Charité, Saint-Chamond à partir de 20 heures. |
1948, la grève des mineurs du bassin de la Loire (16 novembre 2017)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM à Saint-Étienne 1948. La grève des mineurs du bassin de la Loire Avec Maurice Bedoin et Jean-Michel Steiner. Diffusion le jeudi 16 novembre 2017 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. Retrouvez les informations sur l’ouvrage en cliquant sur le lien. |
Visite spéciale et spectacle au Puits Couriot le dimanche 26 novembre 2017
Puits Couriot Parc-musée de la mine Le dimanche 26 novembre 2017 En parallèle de la braderie organisée à la boutique du musée du vendredi 24 au dimanche 26 : Visite thématique guidée « Mineurs d’ici et d’ailleurs » Cette visite guidée dans les salles d’exposition et la galerie de mine reconstituée offre une manière d’appréhender le quotidien, la diversité des parcours et l’importance de la contribution des populations étrangères au développement économique de la France. Départ de visite à 10h - Durée 1h15 Public adulte / + 16 ans Sans réservation, inscription à l’accueil du musée (places limitées) Tarif : 7€ et 5€ Spectacle « De la farine au charbon » Par la compagnie La Tarlatane, dans le grand lavabo L’histoire de ces « volontaires malgré eux », ces italiens de France, qui se sont laissés emporter par le grand flux migratoire de l’après Seconde Guerre mondiale... À chaque étape de ce voyage obligé, quelques chansons s’élèvent, porteuses d’espoir ou de révolte... Mise en scène Gisèle Bianchi, interprété par Camille Gonzalez et Gisèle Bianchi Rendez-vous à 16h30 pour un goûter familial Début du spectacle à 17h Durée 1h (vêtements chauds conseillés) Tout public Gratuit - Sans réservation Plus d’informations sur le site internet du Puits Couriot. |
Présentation de l’ouvrage « Saint-Étienne, ville imaginée. Mineurs, artistes et habitants »
Présentation de l’ouvrage collectif Saint-Étienne, ville imaginée. Mineurs, artistes et habitants, dirigé par Michel Rautenberg et Corine Védrine, paru aux Publications de l’université de Saint-Étienne (PUSE), dans la collection « Matières à penser », le jeudi 23 novembre, 19 heures, à la librairie LUNE & L’AUTRE. |
Troisième retour sur les 4e RHO (jeudi 19 octobre 2017)
Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO 89.5 FM à Saint-Étienne L’émission mensuelle du GREMMOS est de retour sur les ondes de Radio DIO en ce mois d’octobre. Pour sa rentrée, il sera question d’un dernier retour sur sur les 4e Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne de janvier dernier, avec un sujet portant sur la troisième session des journées, organisée autour de la thématique « Les syndicalistes face à (et après) la Grande Guerre ». Les résumés sont disponibles à la page suivante (en lien). Avec Henry Destour et Jean-Paul Bénetière. Diffusion le jeudi 19 octobre 2017 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. La prochaine émission (jeudi 16 novembre 2017) sera consacrée à l’ouvrage récemment paru de notre ami Maurice Bedoin, 1948. La grève des mineurs du bassin de la Loire (présentation en lien). |
Colloque de l’IHS-CGT 63 « 1917 : le mouvement ouvrier, la CGT, les révolutions russes » (samedi 16 décembre 2017)
Colloque, expositions, projection "1917 : le mouvement ouvrier, la CGT, les révolutions russes" Institut d’histoire sociale CGT du Puy-de-Dôme Salle Georges Conchon 3, rue Léo Lagrange, Clermont-Ferrand Samedi 16 décembre 2017 Présentation : Pour marquer le 100e anniversaire de la 3e Conférence confédérale de la CGT qui s’est tenue à Clermont-Ferrand, les 23, 24, 25 décembre 1917, l’Institut d’Histoire Sociale du Puy-de-Dôme (IHS-CGT63) avec le syndicat CGT du personnel départemental (CGT-CD 63) organisent le samedi 16 décembre 2017 Salle Georges Conchon 3, rue Léo Lagrange à Clermont-Ferrand, plusieurs manifestations (présentation générale) : 1° un colloque d’histoire sociale sur le thème « 1917 : le mouvement ouvrier, la CGT, les révolutions russes », 2° deux expositions une « 1917 : le mouvement ouvrier, la CGT » et une deuxième en partenariat avec l’association La Courtine 1917 : « 1915-1920 : le corps expéditionnaire russe en France ». 3° la projection du film documentaire "Lénine et Marcel" de Marie-Dominique Montel et Christopher Jones, coproduit par France 3 Nouvelle Aquitaine et Zoulou Compagnie. Vous trouverez en pièce-jointe, le carton d’invitation et le programme plus détaillé de cette journée : cliquez ici Le nombre de places étant limité, l’inscription est obligatoire dès maintenant}, par mail (cliquez sur le lien précédent), en précisant bien dans votre courriel si vous souhaitez assister au colloque et/ou au film. Il est aussi possible de s’inscrire pour les repas (cf. programme). Le tout est gratuit : colloque, film, inscription. Seuls les repas sont à régler d’avance. Pour plus d’informations, nous vous invitons à consulter la pagé dédiée aux manifestations sur le site de l’UD-CGT du Puy-de-Dôme. |
Concert Chorale de chansons de passementiers (lundi 2 octobre)
Chorale de chansons de passementiers de l’ensemble Unacorda Lundi 2 octobre 2017, 18 heures Auditorium du Conservatoire Jules Massenet 32, rue des Francs Maçons Saint-Étienne Entrée gratuite Sous la direction d’Alexis Gipoulou, proposé par l’Association des Amis du musée d’Art et d’Industrie. |
Rencontres Livres en marge – 1917 2017 Révoltes et révolution (du 6 au 8 octobre 2017)
Rencontres Livres en marge 6 - 7 - 8 octobre 2017 À Saint-Étienne 1917 2017 Révoltes et révolution
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Annonce 5e RHO « Monde ouvrier et religions à Saint-Étienne (et ailleurs) au XXe siècle jusqu’à nos jours » (janvier 2018)
Problématique des 5es Rencontres d’Histoire Ouvrière de Saint-Étienne « Monde ouvrier et religions » - Janvier 2018 Depuis la création des Rencontres d’Histoire ouvrière, le Gremmos s’est intéressé à différents aspects des relations sociales et économiques qui ont touché le monde ouvrier dans le bassin stéphanois, durant le XXe siècle. Cette année, il s’est fixé pour objet d’étudier l’interférence des religions avec le monde ouvrier, une thématique que nous n’avions pas abordée jusqu’alors, une thématique pourtant tellement riche d’informations sur les comportements et les engagements. A priori l’adhésion religieuse appartient à l’intime de chacun, mais elle participe aussi éminemment au collectif, comme l’a démontré Durkheim [1], dans la mesure où les religions, qu’elles soient chrétiennes ou musulmanes, structurent une pensée, une pratique, une communauté, des aspirations. Il convient de savoir si les travailleuses et les travailleurs, et entre autres, celles et ceux de la région stéphanoise, demeurent au XXe siècle des pratiquants ? Dès lors leurs comportements s’alignent-ils en conformité aux préceptes de leurs Églises ou au contraire gardent-ils une position relativement extérieure et critique vis à vis de leur hiérarchie ? Quelle influence reconnaissent-ils aux valeurs de la République dans leurs engagements, une République qui s’affiche souvent comme anticléricale et laïque ? Quant à l’Église elle-même, de quelle autonomie fait-elle preuve dans ses engagements et désengagements politiques qui la font se rapprocher ou s’éloigner de la classe ouvrière ? Enfin, comment les travailleurs maghrébins se positionnent-ils face aux sollicitations parfois contradictoires d’être à la fois des pratiquants musulmans et des citoyens français ? Si ce travail d’élucidation des 5es RHO porte sur le bassin stéphanois, c’est qu’il s’agit d’un espace d’étude pertinent. Ses populations, souvent issues de migrations, arrivent avec une imprégnation religieuse encore forte. Que ce soit quand elle proviennent des « montagnes » proches à forte prégnance catholique – la « petite Vendée » de Haute-Loire, les Monts du Lyonnais ou du Pilat – et protestante – le haut plateau ardéchois –, ou musulmane – pays du Maghreb puis d’Asie mineure. Elles contribuent ainsi au cosmopolitisme local tant humain que religieux. Des comparaisons riches de sens sont possibles avec d’autres régions industrielles françaises : l’est lorrain, le bocage normand ou la région de Saint-Nazaire. De la révolution de 1848 et de la Commune, toutes les deux achevées sur des massacres, il reste une tradition, celle d’une république sociale, celle que Michèle Riot-Sarcey a recherchée et définie comme la liberté de « pouvoir agir » des ouvriers [2]. Si cette tradition fut reprise par les syndicalistes révolutionnaires, les partisans de l’autonomie ouvrière furent vaincus par les « défenseurs du collectivisme d’état » ou « de la représentation parlementaire » à laquelle les classes aisées se rallièrent. De ces événements traumatisants et fondateurs le monde ouvrier a gardé une forte tendance à l’anticléricalisme, voyant souvent dans l’Église catholique un défenseur de la hiérarchie engendrée par l’industrialisation, voire un prêcheur de résignation. À partir de 1870 s’instaure et croît dans la société une lutte sourde entre deux emprises : celle de l’Ordre moral et du paternalisme d’une part, celle de l’anticléricalisme, de l’irréligion, de l’intransigeance laïque, voire de l’athéisme militant d’autre part. Dans les années 1890, se développent une vraie compétition entre les œuvres religieuses et les initiatives issues du monde associatif laïque. L’héritage culturel et religieux, issu du christianisme social, a été renouvelé en 1891 par l’encyclique Rerum Novarum et le développement du Sillon. Catholiques et protestants rivalisent d’initiatives pour secourir des populations ouvrières touchées par la crise économique et la perte de la foi religieuse. Le projet était tout à la fois d’évangéliser les masses, de les secourir dans leur détresse, de lutter contre le « syndicalisme athée » [3], voire de restaurer un ordre social chrétien. Des œuvres infantilisant les ouvriers, telles la charité patronale ou les usines-couvents, ces courants évoluent vers des formes plus respectueuses de l’identité ouvrière : « jardins ouvriers » du Père Volpette, « œuvre des enfants à la montagne » du pasteur Louis Comte, cercles paroissiaux, centres sociaux de la Loire créés dans la mouvance de l’Église catholique, après 1943, à Saint-Étienne, Saint-Chamond, Firminy et Saint-Genest-Malifaux [4]. Parallèlement, du côté laïque, se multiplient patronages, fêtes, amicales laïques, avec le souci de former des esprits libres, des enfants pétris « des codes de bonne conduite en collectivité », convaincus de l’utilité de la gymnastique et du sport, des esprits animés par le patriotisme, ouverts à la culture Cette lutte se poursuivit dans d’autres domaines. Ainsi par exemple, grandit une âpre rivalité entre les systèmes concurrents de formation professionnelle des ouvriers. La Loire au début du XXe siècle est le département qui a construit le plus grand nombre d’écoles professionnelles municipales après Paris et le département de la Seine, offre complétée par plusieurs écoles privées. La loi de séparation des Églises et de l’État, de 1905, votée à l’initiative d’Aristide Briand, député de la Loire de 1902 à 1919, et soutenue par Jean Jaurès, représente un vrai point de rupture. C’est avec elle que la laïcité installe dans le paysage politique et religieux les principes de neutralité, de pluralisme et de liberté de conscience. Elle vise, notamment, à affranchir les consciences du monde ouvrier de l’obéissance religieuse. La période 1919-1944 qui suit la Première Guerre mondiale est d’abord marquée par une vague de grandes grèves, par les scissions de la SFIO et de la CGT en organisations rivales (PCF et CGTU), par la disparition du courant syndicaliste révolutionnaire et par la création de la CFTC, alors très minoritaire, qui intègre les syndicats féminins chrétiens et prend part à certaines luttes communes dans les années 1920 et 1930. Cette centrale devient plus ouvrière après la création et le développement de la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC) en France à partir de 1927. En 1936, la CGT et la CGTU se réunifient et un grand mouvement de grèves accompagné d’un formidable développement des syndicats, accompagne l’élection du gouvernement de Front Populaire, avant un nouveau reflux dû à l’éclatement du Front populaire et à l’approche d’une nouvelle guerre. Alors que de nombreux militants des organisations « chrétiennes » reprochent à la majorité de l’épiscopat d’avoir eu beaucoup d’indulgence à l’égard du régime de Vichy, le rôle joué par le PCF dans la Résistance lui permet d’exercer à travers la CGT une très grande influence dans le mouvement ouvrier à la Libération [5]. On assiste ainsi à un rapprochement entre les organisations catholiques de jeunesse et la CFTC d’une part et les organisations appartenant au bloc PCF-CGT d’autre part [6]. Pour certains membres d’organisations ouvrières catholiques (MLP, MLO), les vrais militants ouvriers se trouvaient dans la mouvance communiste. L’ignorer, c’était courir le risque de se couper du mouvement ouvrier. Ce rapprochement, sauf pour un petit nombre de militants qui rejoignirent la CGT ou le Mouvement de la Paix [7], fut limité à une pratique de plus en plus importante de l’unité d’action. Il n’alla pas jusqu’à l’unité organique entre CGT et CFTC, que la CGT avait, dans un premier temps, cherché à imposer. Par sectarisme et dogmatisme une partie des dirigeants de la CGT ont contribué à transformer la CFTC en pôle alternatif et démocratique. Il nous faut accorder une place au rôle de l’action catholique en milieu ouvrier après la Seconde Guerre mondiale. L’action des militants de la JOC et de la JOCF peut être comprise comme un vecteur d’éveil et de formation des jeunes. Dès lors et compte tenu de la place de la galaxie communiste, on assiste à une rivalité entre mouvements de jeunesse : UJRF versus JOC. Ce mouvement, bien qu’encadré par des aumôniers, n’a pas toujours été perçu par la hiérarchie comme très orthodoxe. Ses discours et ses prises de position se singularisent lors des élections et des conflits du travail. Il sera intéressant d’étudier de ce point de vue la grève des mineurs de 1963, à l’image de celle de 1948 [8]. Après 1950, la CFTC s’est détachée de l’emprise du MRP. Un courant de catholiques de gauche, dont certains s’investissent plus tard au PSU et au parti socialiste, grandit en son sein [9]. Dans les années 1960, encouragée par certains positions prises par le concile Vatican II et dans l’espoir de devenir un grand syndicat démocratique, elle choisit de se déconfessionnaliser, puis de conclure en janvier 1967 un accord avec la CGT. Celui-ci marque le début d’une alliance stratégique à long terme entre les deux centrales, même si celle-ci elle est émaillée de conflits. Comment se traduisent ces affrontements et ces cohabitations à l’échelle locale ? Peut-on, au niveau d’une commune ou d’un quartier, voir ce qui se passe dans les domaines de la gestion sociale, culturelle, éducative ? Deux communes peuvent servir de matrices à cette réflexion. À La Ricamarie et à Roche-la-Molière, les crispations se structurent autour de la politique des Houillères. Celles-ci tablent sur les structures catholiques (Harmonie des mineurs, écoles privées, service de santé, patronage, syndicat CFT) pour contrer l’influence de la CGT et du PCF qu’elles redoutent depuis la grande grève de 1948. La population d’origine polonaise se retrouve au cœur de cette compétition. À Firminy-Unieux, longtemps s’opposent les politiques de deux entreprises : Holtzer, d’inspiration protestante luthérienne, et Verdié (Aciéries et forges de Firminy), de culture catholique. Leur implication sociale (équipements patronaux d’Unieux, cités, écoles, sport, épicerie), leur position face au syndicalisme ont été étudiés [10]. Les enjeux politiques méritent eux aussi une vraie attention. Dans ces années 1960 et 1970, la CFDT, en prônant l’autogestion et le contrôle ouvrier, renoue avec la part oubliée du syndicalisme français des années d’avant la Première Guerre mondiale . Une polémique a opposé à ce sujet René Mouriaux et Guy Groux qui voulaient y voir une origine chrétienne [11], et Frank Georgi qui insistait sur la disponibilité idéologique des militants de la CFDT et leur aptitude à accueillir « des théories et expériences venus d’autres horizons culturels, (…) le syndicalisme révolutionnaire de Pelloutier, (…) les conseils ouvriers de Hongrie et de Pologne en 1956 » [12]. L’évolution de la CFTC en CFDT se traduit par des ruptures sur des positions fondamentales du catholicisme social : l’abandon du soutien à la famille et au salaire de la mère au foyer ; la reconnaissance de la lutte des classes ; l’engagement pour le droit à la contraception et à l’avortement. Les militants et militantes « chrétiens » deviennent des militant(e)s syndicaux/es (et politiques) [13]. Quoique de moindre importance, le protestantisme a-t-il eu alors une action propre dans le monde ouvrier ? Bien des événements internationaux ont eu des impacts sur les rapports religion/ monde ouvrier : l’indépendance algérienne, les transformations décidées par le Concile Vatican II 1962-1965), la Guerre des Six jours (1967) et celle du Kippour (1973), la solidarité avec la Palestine, la grève des chantiers navals de Gdansk et la révolution islamique en Iran (1979). Mais comment les mesurer ? On s’interrogera sur les positions des militants ouvriers et la part qu’y tiennent défense de la liberté individuelle et /ou le respect des convictions religieuses. La « crise du pétrole » de 1973-1974 a débouché sur une radicale mutation du monde : disparition de grandes entreprises, bastions des syndicats ; naissance et développement d’une nouvelle classe ouvrière avec l’apparition et la multiplication du nombre de « travailleurs neufs, non porteurs des débats de la classe ouvrière » [14] ; désyndicalisation. Pour Xavier Vigna « le passage de l’insubordination à un continent morcelé et silencieux ne cessait d’intriguer » [15]. Dans la même décennie, le bloc communiste s’est écroulé, les idéologies porteuses des militants ouvriers, que ce soit le communisme ou l’autogestion ont été mis au rencart, tandis que les gouvernements socialistes ne parvenaient pas à enrayer la montée du chômage attendue. La CFDT est passée de l’autogestion au recentrage. La déchristianisation est devenue massive, les catholiques de gauche sont devenus moins visibles. Certains auteurs se demandent ce qu’ils sont devenus [16]. Dans le même temps, l’Islam devenait en partie un « Islam des mosquées », des rébellions éclataient dans les quartiers populaires ; le fait religieux en entreprise s’inscrit alors à l’agenda des politiques. |
[1] Émile Durkheim, Les formes élémentaires de la vie religieuse : le système totémique en Australie, Paris, Félix Alcan, coll. Bibliothèque de philosophie contemporaine, 1912.
[2] Michèle Riot-Sarcey, Le procès de la liberté. Une histoire souterraine du XIXe siècle en France, Paris, La Découverte, 2016. On pourra faire le lien entre cette tradition du mouvement ouvrier français et les idées avancées par la CFDT des années 1960-1970 : autogestion, critique de la division du travail.
[3] Michel Launay, La CFTC, origines et développement (1919-1940), Paris, Publications de la Sorbonne, 1987.
[4] L’exploitation par exemple des archives du patronage Saint-Joseph, versées aux archives municipales de Saint-Étienne, permet d’en étudier la naissance et le fonctionnement.
[5] Au niveau local : Jean-Michel Steiner, Métallos, mineurs, manuchards. Ouvriers et communistes à Saint-Étienne (1944-1958), Saint-Étienne, Publications de l’université de Saint-Étienne, 2014.
[6] Jean-Paul Bénetière, L’Union départementale de la CFTC-CFDT de la Loire. Déconfessionnalisation, autogestion, crise et résistance au « recentrage », Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2017.
[7] Lire à ce titre les recherches de Daniel Durand, également responsable du Cedmo 42.
[8] Maurice Bedoin, 1948. La grève des mineurs du bassin de la Loire, Saint-Étienne, Actes graphiques, coll. Gremmos, 2017.
[9] Voir à ce titre les archives d’André Garnier, ancien militant de la JOC, responsable départemental de la CFTC puis de la CFDT, du PSU puis du PS, versées aux archives départementales de la Loire.
[10] René Commère, Mémoires d’acier en Ondaine : histoire d’un site métallurgique en région stéphanoise : du martinet à la haute technologie, Saint-Étienne, Publications de l’université de Saint-Étienne, 2000.
[11] Guy Groux et René Mouriaux, La CFDT, Paris, Economica, 1989.
[12] Frank Georgi, L’invention de la CFDT, Paris, Les Éditions de l’Atelier, 1995, p. 471.
[13] Voir les travaux de Jean-Paul Bénetière.
[14] Selon la résolution générale adoptée par le congrès de l’UD-CFDT Loire en mars 1984.
[15] Xavier Vigna, L’insubordination ouvrière dans les années 68, Essai d’histoire politique des usines, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2007. L’auteur reprend le titre de la Revue Autrement, n° 126, janvier 1992 : « Ouvriers, Ouvrières, Un contient morcelé et silencieux ».
[16] Jean-Louis Schlegel, « Récit. Vers la fin d’une parenthèse », dans Denis Pelletier et Jean-Louis Schlegel (dir.), À la gauche du Christ. Les chrétiens de gauche en France de 1945 à nos jours, Paris, Le Seuil, 2012, p. 541-575. Colette Muller et Jean-René Bertrand, Où sont passés les catholiques ?, Paris, Desclée de Brouwer, 2002.
Événement « Éducation populaire : apprendre le monde » dans les médiathèques de Saint-Étienne
Événement "Éducation populaire : apprendre le monde" Médiathèques de Saint-Étienne D’octobre à décembre 2017 Présentation par les médiathèques de Saint-Étienne : "S’inscrire dans une maison de quartier, à un atelier d’expression artistique, à une association de défense des droits de l’homme, participer à une université populaire..., atteste d’un engagement dans le champ de l’éducation populaire. Il est difficile de cerner le terme d’éducation populaire. On peut le définir comme un projet éducatif qui complète l’enseignement scolaire et qui prépare à la citoyenneté, sans exclusion, dans un but d’épanouissement personnel et de socialisation dans le respect des opinions des individus et des familles. L’histoire de l’éducation populaire en France date de la Révolution française, avec en 1792, le député Condorcet qui présente son plan d’instruction publique. L’éducation ne doit plus être l’apanage de quelques-uns. Elle doit s’étendre à l’ensemble de la population afin de favoriser la promotion sociale et professionnelle de tous. Les XIXe et XXe siècles ont été marqués par l’essor grandissant de l’éducation populaire. Aujourd’hui, celle dont la mission était d’appuyer les forces d’émancipation de l’individu, a été enrichie d’un nouveau volet : tisser du lien social, mener un travail d’intégration, d’ouverture à l’autre. Des formes et des missions nouvelles apparaissent : les réseaux d’informations et de formations mutuelles, l’éducation à l’écologie et au développement durable, le développement solidaire, portées par des associations qui ne se réclament pas toutes de l’éducation populaire. C’est sans doute dans les modes d’organisation de ce type de mouvements que réside l’avenir de l’éducation populaire". L’ensemble de l’événement est présenté dans la brochure suivante : http://fr.calameo.com/read/000544113e21a75bad73b Parmi les manifestations :
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Journées européennes du Patrimoine 2017
Journées européennes du patrimoine 2017 Le samedi 16 et le dimanche 17 septembre Brochure récapitulative pour les communes de Saint-Étienne Métropole : cliquez ici Page internet regroupant les brochures de l’ensemble des départements de la région Auvergne-Rhône-Alpes : cliquez ici |
L’union départementale de la CFTC-CFDT de la Loire
Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2017
Jean-Paul Bénetière, L’union départementale de la CFTC-CFDT de la Loire. Déconfessionnalisation, autogestion, crise et résistance au "recentrage" (1944-1988), Rennes, Presses universitaires de Rennes, collection Pour une histoire du travail, 2017, 306 pages Ouvrage publié avec le soutien de l’Université Rennes 2 et de la Fondation Jean Jaurès. Présentation :
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Présentations de l’ouvrage 1948 La grève des mineurs du bassin de la Loire
Maurice Bedoin présente son ouvrage 1948 La grève des mineurs du bassin de la Loire (Actes graphiques, 2017, 288 pages, 24 euros) :
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Deuxième retour sur les 4e RHO (15 juin 2017)
Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO 89.5 FM à Saint-Étienne L’émission est consacrée à un retour sur la deuxième session des 4e Rencontres d’histoire ouvrière, organisée autour de la thématique « Les syndicalistes face à la Grande Guerre ». Les résumés sont disponibles à la page suivante (en lien). Avec Daniel Durand et Jean-Michel Steiner Diffusion le jeudi 15 mai 2017 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. Un troisième retour sera probablement diffusé à la rentrée, consacré à la session du samedi matin. |
1948 La grève des mineurs du bassin de la Loire
Saint-Étienne, Actes graphiques, 2017
Maurice BEDOIN, 1948 La grève des mineurs du bassin de la Loire, Saint-Étienne, Actes graphiques, 2017, 288 pages |
Maurice Bedoin présente son ouvrage le jeudi 8 juin à la Maison du Parc à La Talaudière 19 heures (rencontre organisée par la Maison du patrimoine et de la mesure). |
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Premier retour sur les 4e RHO (18 mai 2017)
Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO 89.5 FM à Saint-Étienne L’émission est consacrée à un retour sur la première matinée des 4e Rencontres d’histoire ouvrière, organisée autour de la thématique « Ouvrières, ouvriers et entreprises dans la Grande Guerre ». Les résumés sont disponibles à la page suivante (en lien). Avec Jean-Michel Steiner et Jean Lorcin Diffusion le jeudi 18 mai 2017 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures. Un deuxième retour est prévu le jeudi 15 juin, et portera sur la session du vendredi après-midi. Un troisième retour sera probablement diffusé à la rentrée, consacré à la session du samedi matin. |
L’Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO (jeudi 20 avril 2017)
Diffusion à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain 8 heures |
Projection « La Sociale » à l’EN3S le lundi 3 avril (17h30)
L’Union Départementale CGT de la Loire, l’Institut d’Histoire Sociale CGT de la Loire Benoit Frachon, les Amis de l’Humanité Loire en partenariat avec l’Ecole Nationale Supérieure de Sécurité Sociale (EN3S) vous invitent à la projection du film « La Sociale » le : Lundi 3 Avril à 17h30 À l’EN3S 27 Rue des Docteurs Charcot 42100 Saint-Étienne La projection gratuite du film, dans ce haut lieu de formation des Cadres de la Sécurité Sociale de renommée internationale, sera suivie d’un débat avec la participation de son réalisateur Gilles PERRET. |
Journées d’étude « Les pollutions en héritage » à l’Université Jean Monnet (30-31 mars 2017)
Journées d’étude Les pollutions en héritage : quelle résilience dans les territoires (post-)industriels ? 30 & 31 mars 2017 Université Jean Monnet, site Denis Papin, salle A019 Le programme des journées en lien : cliquez ici Une visite du site Novaciéries à Saint-Chamond est proposée le vendredi 31 après-midi. Inscriptions jusqu’au 22 mars (voir programme en lien) |
La fresque de Berthon à la Bourse du Travail de Saint-Étienne enfin dévoilée
Auguste Jean Eugène Berthon (1858-1922), Avenir, décor de fond de scène pour la Bourse du Travail de Saint-Étienne marouflé sur toile, 11 x 5,5 mètres, 1907, photographie de Florian Kleinefenn, © Musée de la mine – Ville de Saint-Étienne |
La grande fresque de la Bourse du Travail de Saint-Étienne enfin révélée. Dans le cadre de la collecte de documents allégoriques représentant le travail dans les espaces publics de la région stéphanoise entreprise à l’initiative de Philippe Peyre, conservateur du Puits Couriot / parc-musée de la mine de Saint-Étienne, dans le contexte de la 10° Biennale du Design, nous pouvons avoir à nouveau une vue d’ensemble de la grande fresque qui orne le fond de la salle des conférences de la Bourse du Travail. L’œuvre, de dimensions imposantes (11 x 5,5 m), est un décor de fond de scène marouflé sur toile… invisible depuis 1973. En effet depuis cette date elle est masquée par un mur de parpaing construit à moins d’1m50 et interdisant tout vision globale. Elle est de plus salie par des projections de plâtre et maculée par des inscriptions à la craie et au crayon. Lors de l’exposition organisée par les Archives municipales en 2004 pour le centenaire de la première inauguration du bâtiment du cours Victor Hugo, nous avions demandé, en vain, la destruction de ce mur. Grâce à la technique numérique il a été possible de contourner l’obstacle. Le photographe Florian Kleinefenn a réalisé un peu plus de 60 photographies prises par à 1,1 m de distance puis remonté l’ensemble pour nous donner à voir l’œuvre réalisée par le peintre Berthon il y a 110 ans [1]. Le résultat est étonnant, malgré les légers manques sur les côtés et sur le haut dus à la présence de quelques poutrelles qui ont gêné le travail du photographe. Nous continuerons néanmoins à solliciter les élus et les services municipaux pour que ce mur soit détruit et que soit enfin rendue aux Stéphanois une œuvre qui leur appartient. La Bourse du Travail de Saint-Étienne, bâtiment emblématique de la ville, a connu une histoire complexe. Projet amorcé dès les années 1870, installé le 14 juillet 1888 dans l’ancien siège de la banque de France place Marengo (aujourd’hui place Jean Jaurès), il déboucha sur l’édification cours Victor Hugo, entre 1901 et 1906, d’un véritable “Palais du Travail” connu de tous les Stéphanois comme la Bourse du Travail. Jean-Michel Steiner a consacré deux articles pour mettre au jour les étapes de cette construction (Steiner 2002, Steiner 2011). L’imbroglio qui entoure cette longue gestation est illustré par le fait qu’il aura fallu trois inaugurations pour satisfaire toutes les expressions du monde ouvrier stéphanois du début du XX° siècle. Le 14 février 1904, le congrès socialiste essuya les plâtres de la grande salle de conférences au cours d’une soirée qui s’acheva en pugilat généralisé ; le 14 juillet 1906, les syndicats quittant le siège de la première Bourse rejoignirent en cortège, avec drapeaux et musiques, l’aile nord du bâtiment qu’ils durent, bon gré mal gré, partager avec les sociétés de secours mutuels lesquelles occupèrent l’aile sud le 23 juin 1907. Tout aussi compliqués ont été les débats autour de l’ornementation. Il ne semble pas que le Conseil Municipal ait eu à l’origine des intentions claires à ce sujet. En 1881, le maire Victor Duchamp se contentait de prévoir : « Une salle très sobrement ornée. Des tables portant les noms des hommes illustres dans les arts et les sciences, les dates des grands faits historiques, des formules scientifiques, des cartes géographiques et astronomiques, des travaux synoptiques, quelques bustes, médaillons et portraits constitueraient toute la décoration ». Le 2 juin 1906, le maire ouvrier Jules Ledin, afficha son souci d’élever la sensibilité prolétarienne : « Une ville de l’importance de Saint-Etienne peut bien, il me semble, se payer le luxe de la décoration d’une salle destinée à recevoir toute la démocratie. Ce n’est pas une raison parce que son public ordinaire sera composé d’ouvriers pour en bannir les œuvres d’art ». Cependant les réalités financières l’entraînèrent à réduire ses ambitions : « Dès qu’il s’agit d’œuvres d’art, vous le savez, il est difficile de fixer un prix. S’il suffisait de confier à n’importe qui ces travaux de décorations, je connais plus d’un barbouilleur qui s’en chargerait à très bon marché ; mais si l’on devait par contre les faire exécuter par un Puvis de Chavannes, il n’est pas douteux que la dépense absorberait des sommes énormes. (...) Notre but est d’orner de peintures décoratives la Salle de Conférences pour le régal des yeux, mais on ne saurait trop insister pour donner à ces travaux un caractère véritablement artistique ». Il semble que c’est sous la pression d’artistes intéressés que l’on en vint peu à peu à des décorations. Sans projet d’ensemble mais au coup par coup. La commission d’architecture et de la voirie avait examiné le 2 février 1905, 5 projets pour la décoration de la frise et de la corniche de la grande salle. Il s’agissait en l’occurrence de juxtaposer les « armes parlantes des anciennes corporations sur des feuillages ». Un an plus tard, le 9 février 1906, le conseil municipal décida de se porter acquéreur du groupe sculpté La Grève, réalisé par un immigré italien Zan, ainsi que du buste de Benoît Malon. Au fond de la grande salle de conférences, le mur, large et haut, pouvait se prêter à la réalisation d’une fresque. Le 2 juin 1906, Jules Ledin annonçait : « La Commission d’Architecture, réunie le 19 avril dernier, a décidé que des peintures décoratives encadrant les deux à-côtés de scène de la grande salle, et faisant suite aux deux panneaux allégoriques précédemment offerts par M Berthon, seraient confiés au même artiste ». Certains conseillers, s’étonnèrent que Berthon soit traité comme le peintre “officiel” de la Municipalité. Des concurrents se manifestèrent. Le 14 février 1907, le directeur de l’école des Arts industriels adressa une lettre au Conseil Municipal, prenant d’abord soin de justifier sa candidature, il proposa, après avoir visité le bâtiment, la réalisation d’une fresque : « Exerçant ici depuis 15 ans [je me suis] suffisamment identifié aux aspirations de la classe laborieuse, la seule méritante, pour prétendre interpréter ses sentiments. (...) La grande surface du fond de la salle des conférences demande une page importante par ses dimensions, large par ses vues humanitaires, en harmonie avec l’âme même du monument, vibrant avec lui et résumant autant que possible les préoccupations très légitimes à l’ordre du jour du pays républicain ». Il annonçait alors un programme, intitulé l’Humanité, allant dans ce sens :
« Le motif général - 11 mètres sur 5,5 mètres - sera intitulé “Avenir” et se composera :
Références bibliographiques
Steiner Jean-Michel (2002), « La création de la Bourse du Travail de Saint-Étienne - 1889-1906. Espoirs et inquiétudes de la “grande ville ouvrière” au miroir d’un bâtiment », Patrimages n°2 – Créations et solidarités dans la grande ville ouvrière (Publications de l’Université de Saint-Étienne, 2002). Steiner Jean-Michel (2011), « Construire un bâtiment pour la Bourse du travail de Saint-Étienne. Un enjeu politique et idéologique dans une grande ville ouvrière (1888-1907) », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique, n° 116-117 « Aux sources de l’histoire syndicale française. Retour sur les Bourses du Travail. », juillet - décembre 2011 (en ligne)
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Présentation de l’inventaire des archives Manufrance et conférences à la Préfecture le 28 mars 2017
MANUFRANCE, histoire et archives 1885-2003 Les Archives départementales de la Loire organisent le mardi 28 mars à partir de 18 heures une présentation de l’inventaire des archives de Manufrance à la salle des fêtes de l’Hôtel du Département à Saint-Étienne. L’entrée est gratuite et sur inscription avant le 23 mars à la page suivante : http://www.loire.fr/jcms/lw_1169761/conference-l-epopee-manufrance Présentation du site des Archives :
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Biennale : La saga Canson et Montgolfier au Musée d’art et d’industrie (samedi 25 mars 2017)
Le samedi 25 mars, journée de projection et de débats autour des films de Bernard Ganne et Jean-Paul Pénard Musée d’Art et d’Industrie (2 Place Louis Comte - 42000 Saint-Étienne) Projections organisées le 25 mars 2017 Horaires : 3 films, projetés respectivement à 10h, 14h et 17h Tarif : droit d’entrée au musée d’Art et d’Industrie En présence du sociologue Bernard Ganne Ces films retracent trois phases de l’entreprise papetière Canson et Montgolfier. De la prospérité d’après-guerre jusqu’au redéploiement mondial, de l’Ardèche à l’Asie. 3 films en 3 volets :
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Conférence de l’Institut du Travail : Fanny GALLOT, « Les ouvrières à l’épreuve du féminisme et du syndicalisme »
Conférence de Fanny Gallot : « Les ouvrières à l’épreuve du féminisme et du syndicalisme » Le mercredi 22 mars 2017, 18 heures Université Jean Monnet, Saint-Étienne, campus Tréfilerie, amphithéâtre E01 Entrée libre Argumentaire
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Exposition et table-ronde « Industrie en héritages : entre paysage et architecture » à la BU Tréfilerie (Biennale OFF)
Du jeudi 9 mars au samedi 8 avril 2017 À l’atrium de la bibliothèque universitaire Tréfilerie Entrée libre EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE : INDUSTRIES EN HÉRITAGES : ENTRE PAYSAGE ET ARCHITECTURE - « Usines, cités et jardins ouvriers en Auvergne-Rhône-Alpes, une appropriation des lieux » Exposition réalisée par le service de l’Inventaire de la région Auvergne-Rhône-Alpes Sur une proposition de la Faculté de sciences humaines et sociales et de la Bibliothèque universitaire Tréfilerie Commissaire d’exposition : Nadine Halitim-Dubois, chercheur, Région Auvergne-Rhône-Alpes, Direction de la culture et du Patrimoine, Service Patrimoines et Inventaire général Le propos de l’exposition est de retracer à l’échelle de la Région les grandes thématiques qui ont marqué son histoire industrielle en présentant des sites emblématiques.
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Émission sur l’exposition « Travail, quand tu nous tiens... Allégories du travail 1850-2017 » (16 mars 2017)
Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Autour de l’exposition « Travail, quand tu nous tiens... Allégories du travail 1850-2017 » au Puits Couriot Parc-musée de la mine (Biennale du design 2017 Working Promesse) Avec Michel Rautenberg, Jean-Michel Steiner et Philippe Peyre (directeur du Musée de la Mine de Saint-Étienne) Diffusion le jeudi 16 mars 2016 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures |
Compte-rendu des 4e RHO
Une centaine de personnes ont assisté les 20 et 21 janvier dernier aux 4e Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne. Nous les remercions chaleureusement, ainsi que nos partenaires (la Ville de Saint-Étienne et les Archives municipales, le Centre Max Weber, l’IHS-CGT de la Loire Benoît Frachon, le CEDMO 42, Radio Dio, la librairie Lune et l’autre), la Mission du Centenaire, et l’ensemble des intervenants pour leur travail de recherche et de restitution. [AJOUT] Maurice Bedoin, membre du GREMMOS, intervenant lors des journées et l’un des présentateurs réguliers de l’émission « Mémoires vivantes » sur RCF Saint-Étienne, a rendu compte d’une partie des propos de nos journées (cliquez sur le lien) Une suite sera donnée à nos journées par la publication des actes dans un avenir proche. Une souscription sera lancée pour l’occasion. Plus d’informations à suivre dans quelques temps ! Et surtout, les 5e Rencontres d’histoire ouvrière, prévues pour le début de l’année 2018. Là encore, plus d’informations dans un proche avenir. |
Cliché de Roger Fraisse |
Cliché de Jean-Michel Steiner |
Cliché de Jean-Michel Steiner |
« Pauvre mineur, mineur joyeux » avec Jean-Paul Gaschignard (16 février 2017)
Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO 89.5 FM à Saint-Étienne « Pauvre mineur, mineur joyeux... » avec Jean-Paul Gaschinard Avec Maurice Bedoin, Jean-Paul Gaschignard L’émission de ce mois de février s’intéresse à l’ouvrage paru en 2016, dédié aux chansons et aux poèmes écrits sur les mines et les mineurs de la Loire entre 1815 et 1914. Pour une présentation de l’ouvrage sur le site du Musée de la Mine (éditeur de l’ouvrage), cliquez sur le lien. Diffusion le jeudi 16 février 2016 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures |
« 1935, la municipalité stéphanoise au pays des Soviets » (samedi 18 mars 2017)
Conférence d’Histoire & Patrimoine de Saint-Étienne Au Musée du Vieux Saint-Étienne Samedi 18 mars 2017, 14h30 à 16h Entrée libre dans la limite des places disponibles (venez tôt !) Par Jean-Michel Steiner |
Exposition « ZOOM ! Angénieux : changez d’optique » au MAI (Biennale)
Investi dans l’étude des entreprises du territoire et de leur savoir-faire, le musée d’Art et d’Industrie présente le récit d’une aventure industrielle de la fondation aux mutations du numérique. Objets patrimoniaux et contemporains, maquettes d’étude et machines de polissage des lentilles, témoignages d’acteurs du changement, sont mis en scène et rendus accessibles aux publics dans une scénographie qui fait la part belle à l’image et au film. Des manipulations ludiques mettent à portée de tous les secrets de l’innovation optique constituant l’ADN de l’entreprise créée près de Saint-Étienne en 1935 et devenue Thalès-Angénieux. Leader mondial de l’optique haute-précision combinée à la micromécanique, avec notamment les objectifs Optimo favoris des directeurs photo des plus grands films, Thalès-Angénieux nous a fait vivre l’innovation du zoom, les premiers pas de l’homme sur la lune, les avancées de la caméra à l’épaule comme celles de la télévision couleur. Au service et en dialogue créatif avec les grands du cinéma, l’entreprise poursuit son aventure industrielle entre Science, Technique, et Art au coeur d’une histoire culturelle mondiale ouverte sur les enjeux des mutations numériques. En contrepoint, une journée de rencontre et de projection rassemblera de nombreux acteurs des arts et métiers du cinéma profondément transformés dans leur pratique par le numérique. Plus d’informations sur le site du Musée d’art et d’industrie de Saint-Étienne Site de la Biennale 2017 À noter : Le samedi 25 mars, journée de projection et de débats autour des films de Bernard Ganne, Jean-Paul Pénard (1996) Tarif : droit d’entrée au musée d’Art et d’Industrie En présence du sociologue Bernard Ganne Ce film retrace trois phases de l’entreprise papetière Canson et Montgolfier. De la prospérité d’après-guerre jusqu’au redéploiement mondial, de l’Ardèche à l’Asie. 3 films en 3 volets : 1er volet : L’entreprise familiale du village papetier. Appartenances ou la PME familiale des années 1970-80 2e volet : L’entreprise flexible du management participatif. Rumeurs d’Ateliers : vous avez dit flexible ? ou l’entreprise participative des années 1980-90. 3e volet : la firme se mondialisant : l’implantation en Chine. Annonay (France) / Qingdao (Chine) : chronique d’une mondialisation ou la firme des années 1990-2000 s’implantant en Asie. |
Biennale IN - « In situ », programme du Centre Max Weber
In situ - Faire voir et faire parler les métamorphoses du travail Biennale du Design 2017 - Working Promesse : les mutations du travail Biennale IN Du 9 mars au 9 avril 2017 Site officiel Présentation officielle : Les sociologues, chercheurs au Centre Max Weber/CNRS, présentent l’actualité de la recherche à propos des mutations du travail, selon différents thèmes : L’essor du travail chez soi ; la vie dans le foyer des jeunes travailleurs ; le travail des étudiants en art, architecture, design et l’impact sur leurs modes de vie ; l’intelligence de l’économie du pauvre, en l’absence de travail ; les caractéristiques des métiers de l’économie sociale et solidaire ; le passage de l’entreprise familiale à la mondialisation ; la place de l’homme et de l’organisation dans les accidents et incidents des usines chimiques classées Seveso ; les résonances des nouvelles formes du travail (co-working, boutiques solidaires, friches, entreprises fermées...) dans l’espace urbain avec les traces des anciennes formes du travail ; et enfin, l’expérience singulière et les significations multiples de ce que recouvrent les mots : mutations du travail. Manifestation multi-située : Le campus Tréfilerie et la salle de spectacle de l’Université Jean Monnet : performance de lectures d’enquêtes ethnographiques ; exposition d’une recherche sur le travail des étudiants des écoles d’art et d’architecture ; projection d’un film documentaire sur la jeunesse au travail La bourse du travail : projection d’un film documentaire sur le non travail et l’intelligence de l’économie de la pauvreté, invitation de chercheurs ; projection d’un web documentaire présentant les regards croisés d’ingénieurs et de chercheurs en sciences sociales dans les risques industriels majeurs L’habitat jeunes Clairvivre / Centre international de séjour Wogensky : exposition de recherche sur les jeunes travailleurs et la ville ; projection d’un film documentaire animé par des chercheurs La Cité du design dans l’exposition principale ; présentation d’une recherche en cours sur le travail à domicile ; une projection d’un film documentaire dans l’auditorium Un pas de porte, rue de la République : un studio d’enregistrement des expériences vécues des habitants : la sociologie dans la ville rassemblant des questions de recherche et d’enquête sociologique sur les mutations du travail Le Musée d’Art et d’Industrie : projection d’un film de recherche Trilogie (40 ans de mutations d’une entreprise de cartonnerie) |
Exposition « Travail, quand tu nous tiens... Allégories du travail 1850-2017 » à Couriot
Travail, quand tu nous tiens... Allégories du travail 1850-2017 Puits Couriot / Parc-Musée de la Mine — Saint-Étienne Exposition IN dans le cadre de la 10e Biennale internationale du Design Working Promesse - Les mutations du travail 9 mars - 9 avril 2017 Murs peints, ronds-points, bâtiments publics, monuments, églises et cimetières, mais aussi tags et allégories de l’underground d’aujourd’hui : les figurations du travail sont nombreuses dans notre environnement quotidien. Elles nous parlent de notre lien au travail et de sa place dans nos vies. Du travail, emblème du monde industriel du 19e siècle et des utopies qui l’accompagnent, aux allégories d’aujourd’hui présentes sur les plaques de nos morts ou au cœur de nos ronds-points, l’exposition du Puits Couriot invite à une balade au gré du territoire/laboratoire qu’est Saint-Étienne pour réfléchir aux mutations du monde et aux sens des interrogations qui sont les nôtres. Page sur le site de la Biennale 2017 Page sur le site du Puits Couriot / Parc-Musée de la Mine Également au Puits Couriot pendant la Biennale : Exposition « Le monde comme entrepôt de livraison » |
Résumés des présentations des 4e RHO (20 et 21 janvier 2017)
Résumés des interventions des 4es Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne
Travail et monde ouvrier au temps de la Grande Guerre : le bassin stéphanois de 1910 à 1925
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4es rencontres d’histoire ouvrière - « Travail et monde ouvrier au temps de la Grande Guerre : le bassin stéphanois de 1910 à 1925 » (20-21 janvier 2017)
Le GREMMOS vous invite aux 4es Rencontres d’histoire ouvrière de Saint-Étienne Travail et monde ouvrier au temps de la Grande Guerre : le bassin stéphanois de 1910 à 1925 20 et 21 janvier 2017 Bourse du Travail de Saint-Étienne Salle Sacco et Vanzetti Entrée libre (dans la limite des places disponibles) En partenariat avec Radio Dio (89.5 FM), le Centre Max Weber, l’IHS-CGT de la Loire Benoît Frachon et le CEDMO 42 Avec le soutien de la ville de Saint-Étienne Opération labellisée par la Mission du Centenaire Depuis trois ans se déroulent les commémorations du centenaire de la Grande Guerre. Les 4es Rencontres d’histoire ouvrière étudieront la place que le bassin stéphanois a joué dans ce conflit, non seulement sur le plan industriel déjà abordé par une exposition du Musée d’Art et d’Industrie mais aussi sur celui des relations sociales et de leur évolution ; la rationalisation du travail dans le cadre de l’effort de guerre ; ses effets sur les relations sociales ; sa réception par les ouvriers ; l’importance réelle des grèves des années 1917-1918 ; la place de la région dans le mouvement social à l’échelle nationale ? Nous proposons de revenir sur ces sujets à la lumière des avancées de la recherche historique des dernières décennies et de recourir à des archives inexploitées ou peu utilisées. Les 4es Rencontres d’histoire ouvrière s’organiseront en trois temps : - La situation des ouvriers dans les entreprises des secteurs clés de l’industrie stéphanoise : les transformations des relations internes aux entreprises, la place nouvelle des femmes dans la production, les formes prises par la mobilisation des travailleurs dans l’effort de guerre et leurs effets ; - Le mouvement social face à la guerre : les actions des syndicalistes pendant la montée des risques de conflit puis pendant l’unité nationale, la portée des mobilisations survenues après la victoire ; - Le paysage syndical et politique des émeutes du Chambon-Feugerolles de 1910-1911 à l’émergence du communisme dans les années 1920 : le rôle des expériences guerrières, des événements de Russie, le destin des militants, l’apparition de formes syndicales nouvelles et concurrentes de la CGT Programme (sous réserve) Sous la présidence de Jean Lorcin, historien, professeur honoraire de l’Université Lyon 2, président de Mémoire Rhône-Alpes |
Vendredi matin - « Ouvrières, ouvriers et entreprises dans la Grande Guerre »
8h30 | Accueil des participants et du public | |
9h15 | Introduction des Rencontres | |
9h30 | Michelle Zancarini-Fournel (historienne, LARHRA, Université de Lyon) | « Ouvriers, ouvrières et politique patronale : l’entreprise Mimard pendant la Première Guerre mondiale » |
10h | Antoine Vernet (historien, laboratoire Triangle, Université Lyon 2) | « Patron charitable et patron de combat. L’action de Joseph Leflaive aux usines de la Chaléassière (1898-1925) » |
10h30 | Pause | |
10h45 | Luc Rojas (historien, chercheur associé à l’UMR 5600 EVS-ISTHME) | « Entre recomposition temporaire et intensification de la production : le travail dans les houillères stéphanoises (1914-1918) » |
11h15 | Georges Gay (géographe-historien, professeur, UMR 5600 EVS-ISTHME, Université Jean Monnet Saint-Étienne) | « De l’invisibilité de la laceteuse à l’affirmation de l’ouvrière textile (1850-1920) » |
11h45 | Débat |
12 h 30 - 14 h 30 : Pause déjeuner (en raison de la tenue des Rencontres à la Bourse du Travail nous ne proposerons pas cette année un service de repas au Restaurant universitaire Tréfilerie, trop éloigné. La Bourse étant proche du centre-ville, de nombreuses possibilités vous sont offertes, dans un rayon de 500 mètres) |
Vendredi après-midi - « Les syndicalistes face à la guerre »
14h30 | Jean-Paul Martin (historien) | « Laurent Moulin : le parcours singulier d’un ouvrier chambonnaire, du syndicalisme révolutionnaire à l’Algérie » |
15h | Daniel Durand (président du CEDMO 42) | « Ondaine : le sort des grévistes de 1917-1918 » |
15h30 | Jean-Michel Steiner (historien, président du GREMMOS) | « L’Union départementale des syndicats ouvriers de la Loire à l’épreuve de la Grande Guerre (1910-1922) » |
16h | Débat | |
16h45 | Fin de la première journée |
Samedi matin - « Un paysage syndical transformé par le conflit »
8h30 | Accueil des participants et du public | |
9h | Maurice Bedoin (historien et géographe) | « De la guerre à la guerre sociale ? Mineurs, métallos et cheminots en grève (1919-1920) » |
9h30 | Jean-Paul Bénetière (historien) | « La naissance de la CFTC dans le bassin stéphanois : un »syndicat du juste milieu« dans une situation révolutionnaire » |
10h | Henry Destour (historien) | « 1919-1924, émergence de nouvelles modalités d’organisation du mouvement ouvrier dans le bassin stéphanois : continuité ou table rase du passé ? » |
10h30 | Débat et conclusions des Rencontres | |
11h45 | Fin de la seconde journée |
Ressources en ligne L’équipe du GREMMOS a mis en ligne une bibliographie spéciale sur la thématique des 4es Rencontres d’histoire ouvrière pour vous donner des idées de lecture Accès à la Bourse du Travail • Tramway Depuis le nord de Saint-Étienne, ligne 1 (Hôpital Nord – Solaure) et ligne 3 (Châteaucreux – Bellevue) : Arrêt Bourse du Travail Depuis le sud de Saint-Étienne, ligne 1 (Solaure - Hôpital Nord ) et ligne 3 (Bellevue - Châteaucreux) : Arrêts Anatole France ou Saint-Louis (Attention, l’arrêt rue des Creuses a été supprimé) • Parking Place Albert Thomas, sauf samedi matin en raison du marché Parking couvert des Ursules Vous pouvez visionner et télécharger le flyer complet en cliquant sur le lien suivant |
Les relations entre les UD CFDT et CGT dans la Loire (1964-1984) (19 janvier 2017)
Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO 89.5 FM à Saint-Étienne Les relations entre les UD CFDT et CGT dans la Loire (1964-1984) Avec Jean-Paul Bénetière et Alban Graziotin Diffusion le jeudi 19 janvier 2017 à 12 heures, rediffusion le soir-même à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures |
Exposition « La Loire en 1914-1918. Un effort industriel exceptionnel »
Exposition itinérante « La Loire en 1914-1918. Un effort industriel exceptionnel » Organisée par l’ONAC-VG Loire Aux Archives départementales de la Loire à Saint-Étienne du 3 au 31 janvier 2017 En association avec le GREMMOS (entrée libre aux horaires d’ouverture des archives) Au Musée d’histoire du XXe siècle d’Estivareilles du 16 février au 26 mars 2017 |
La crise de la CGT dans la Loire 1970-1990 (15 décembre 2016)
Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO 89.5 FM La crise de la CGT dans le département de la Loire entre 1970 et 1990 Avec Alban Graziotin et Jean-Paul Bénetière Diffusion le jeudi 15 décembre 2016 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures |
Conférence « Syndicalisme et politique : l’exemple de la Fédération des Mineurs de France (1880-1948) »
Conférence de Jean-Michel Steiner « Syndicalisme & politique : l’exemple de la Fédération des Mineurs de France (1880-1948) » Le jeudi 8 décembre 2016 19 heures Sorbiers, salle de l’Échappé |
Les grèves du retour à la paix dans la région stéphanoise, 1919-1920 (17 novembre 2016)
Émission mensuelle du GREMMOS sur DIO 89.5 FM Les grèves du retour à la paix dans la région stéphanoise, 1919-1920 Avec Maurice Bedoin et Jean-Paul Bénetière Diffusion le jeudi 17 novembre 2016 à 12 heures, rediffusion le soir à 19 heures et le lendemain matin à 8 heures |
L’anniversaire des congés payés (16 juin 2016)
Diffusion sur DIO le jeudi 16 juin 2016 à 12h, rediffusion à 19h et le lendemain 8h
Troisième retour sur les 3e Rencontres d’histoire ouvrière (19 mai 2016)
Émission mensuelle du GREMMOS sur Radio DIO 89.5 FM
Le troisième jeudi du mois à 12h, rediffusion le soir même à 19h, le lendemain matin à 8h (puis au hasard de la grille de DIO)
Programme à venir
L’UD-CFTC/CFDT de la Loire. Mutation, développement et crise d’une organisation syndicale 1944-1988 (17 mars 2016)
À la veille de la présentation publique par Jean-Paul Bénetière de sa thèse de doctorat d’histoire (soutenue le 15 janvier 2016 à Rennes) à la maison de quartier du Soleil, l’émission mensuelle du GREMMOS du mois de mars propose une discussion de ce travail. Avec Jean-Paul Bénetière. |
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« Petites mains » sur les ouvrières de Lejaby : entretien avec Thomas Roussillon, réalisateur (18 février 2016)
À la suite de la projection/rencontre du 26 janvier dernier autour du film « Petites mains », consacré aux ouvrières de l’usine de Lejaby d’Yssingeaux fermée (avant reprise) en janvier 2012, nous vous proposons la diffusion d’un entretien avec le réalisateur de ce film documentaire Thomas Roussillon. Avec Jean-Paul Bénetière. Diffusion sur Radio Dio le jeudi 18 février 2016 à 12 heures, rediffusion le même jour à 18 heures et le lendemain 8 heures. |
Deuxième retour sur les 3e Rencontres d’histoire ouvrière (21 janvier 2016)
Émission RADIO DIO/GREMMOS du jeudi 21 janvier 2016 Les travailleurs immigrés dans l’industrie française dans les années 1970-80 Retour sur l’interventions de Jean-Paul Bénetière et Alban Graziotin, diffusion d’extraits de la soirée musicale avec Stefano Moscato et Manuel Mendes Diffusion mensuelle en direct à 12h le 2ème jeudi (ou le 3ème) de chaque mois Rediffusions le soir même à 19 heures et le lendemain matin 8 heures, autres : voir sur le site de Radio Dio |
Thèses et mémoires (recension bibliographique)
La liste bibliographique en lien recense les différents mémoires et thèses de sciences humaines et sociales, à ce jour non publiés ou différant véritablement du volume édité, consacrés au bassin stéphanois, présentés dans les universités de Saint-Étienne, Lyon, Grenoble, Paris, etc. Les sujets retenus ne se limitent pas à la simple histoire ouvrière, et ouvrent sur des thématiques connexes et complémentaires. La liste est encore incomplète, et ne demande qu’à être nourrie de vos suggestions.
Vous pouvez également consulter les références des travaux de chercheurs étrangers réalisés sur l’histoire du bassin stéphanois en cliquant ici.